Impact de l’exploitation du sable fluvio-lagunaire sur la qualité physico-chimique de l’eau des écosystèmes aquatiques du sud-Bénin

L’étude de la qualité physico-chimique de l’eau vise une connaissance des risques écologiques que l’activité d’extraction du sable peut engendrer sur l’environnement et ses ressources.

Les stations draguées présentent des profondeurs élevées dues à l’implantation d’une drague pompeuse au niveau de ces stations pour extraire du sable. Les valeurs de transparences ou de turbidité en stations draguées sont élevées. Ces milieux présentent des caractéristiques des eaux bien oxygénées qui pourraient être favorables avec le temps, gage d’un bon développement des espèces aquatiques.

Les températures sont relativement élevées dans les stations non draguées dues aux faibles profondeurs de ces milieux qui ne favorisent pas la diffusion du rayonnement solaire une fois en contact avec l’eau. Ces stations présentent aussi des eaux fortement minéralisées avec une pollution azotée. Les milieux non dragués sont caractérisés par de faibles valeurs de transparence causées par le transfert de sédiments vers les cours d’eau.

Ces résultats constituent des bases solides pour la mise en place d’un plan de gestion durable des écosystèmes aquatiques dragués du sud-Bénin.

Citation :

Lalèyè, K.R., Agadjihouèdé ,H., Lédéroun ,D., Houélomè ,T. A., Chikou ,A.,  Lalèyè ,A.P. , 2022. Impact de l’exploitation du sable fluvio-lagunaire sur la qualité physico-chimique de l’eau des écosystèmes aquatiques du sud-Bénin. Biotechnol. Agron. Soc. Environ 26(2), 121-135.

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Existe-t-il une inadéquation des compétences et/ou des qualifications sur le marché du travail agricole au Bénin ?

Le taux de chômage des jeunes au Bénin est remarquablement bas mais avec une forte proportion de main d’œuvre sous employée.

Il y a une inadéquation entre les compétences des diplômés agricoles et la demande du marché du travail. Il existe un manque de compétences générales et numériques chez les établissements de formation agricole et une surqualification en compétences techniques des diplômés agricoles.

Seuls 2 % environ des diplômés de l’enseignement supérieur agricole et 6,38 % des titulaires d’un DEAT occupent un emploi sans rapport avec leur domaine d’études.

Les faiblesses remarquées dans les compétences générales des diplômés sont :  la faible compétences personnelle et d’apprentissage, la faible proactivité, la flexibilité et la résilience au stress pour les titulaires de BEAT, DEAT, Licence et Master.

Pour les titulaires de Doctorat, les faiblesses concernent le manque de compétences en la gestion des conflits, la planification et les compétences organisationnelles, et la résilience au stress.

Afin de pallier ces difficultés, il faudrait : (i) Doter les étudiants en agriculture du Bénin de compétences en recherche d’emploi en plus de compétences matérielles, générales et numériques pour les rendre plus compétitifs sur le marché du travail; (ii) Mettre régulièrement à jour les programmes d’éducation en fonction des besoins du marché du travail et (iii) Promouvoir la collaboration entre les employeurs et les établissements de formation agricole grâce au développement de plateformes de collaboration entre les employeurs et les établissements de formation agricole, et impliquer davantage les employeurs dans la conception, l’évaluation et l’innovation des programmes.

Citation:

Kaki, R. S., Gbedomon, R. C., Thoto, F. S., Houessou, D. M., Aoudji, A. K., Gandji, K., 2021. Are there any skills and/or qualifications mismatch in the agricultural labour market in Benin?.

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Caractéristiques socio-économiques des flottes de pêche opérant au Bénin, Afrique de l’Ouest

Le secteur de la pêche joue un rôle central dans l’économie locale et l’approvisionnement en protéines animales.

Les tentatives scientifiques pour caractériser le secteur de la pêche au Bénin sont limitées. Cette étude a utilisé les données primaires et secondaires de 2014 à 2018 pour caractériser les flottes de pêche et la diversité des espèces de poissons débarquées au Bénin.

Cinq flottes de pêche utilisant des engins différents ont été identifiées dans le pays. Il s’agit de (i) la Flotte Nationale Continentale Artisanale (FNCA), (ii) la Flotte Nationale Maritime Artisanale (FNMA), (iii) la Flotte Étrangère Maritime Artisanale (FEMA), (iv) la Flotte Industrielle Nationale (FIN) et (v) la Flotte Industrielle Étrangère (FIE).

La FNCA performe mieux en termes de volume de captures et de rendement économique, en raison du grand nombre de pêcheurs indigènes intéressés par cette flotte.

Dans les FNMA et FEMA, les pêcheurs font usage des lignes et des hameçons pour attraper les poissons démersaux et les sennes tournantes et filets maillants dérivants pour récolter des poissons pélagiques.

La FNCA cible uniquement des espèces de poissons d’eau douce. Les utilisateurs de cette flotte pratiquent leur activité tout au long de l’année en utilisant une myriade d’engins de pêche.

La FIN et la FIE ciblent des poissons démersaux et pélagiques, avec 7 et 15 unités enregistrées.

Parmi les flottes de pêche, quatre sont liées à la mer constituant 80% de la flotte totale du fait de l’installation de plusieurs entreprises de pêche chinoises et européennes bien équipées rendant le secteur plus mécanisé que le secteur industriel au Bénin.

Citation :

Montcho ,S.A., Gnansounou ,S.C., Chadare ,J.F., Salako ,K.V., Sohou,Z., Failler P.,Kakaï,R.G.,Assogbadjo,A.E., 2022. Academic journal 14(1), 1-14.

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Utilisation des feuilles de Moringa oleifera et des asticots comme sources de protéines en remplacement complet de la farine de poisson dans les régimes alimentaires du tilapia du Nil (Oreochromis niloticus)

Dans le monde, l’aquaculture est l’une des systèmes de production de protéine animale. L’augmentation sans cesse de la production aquacole notamment du tilapia nécessite une forte demande en aliments piscicoles et donc des matières premières qui les composent.

Pour l’élevage d’Oreochromis niloticus, un test d’alimentation a été réalisé pendant 42 jours sur des alevins avec cinq régimes expérimentaux isoprotéiques et isoénergétiques dont un témoin (D1) contenant de la farine de poisson, et répondant aux besoins en acides aminés essentiels des alevins d’Oreochromis niloticus. Testé en triplicat, la farine de poisson a été complètement remplacée par des ratios de 3:5, 1:2, 2:5, 1:3 entre les feuilles de Moringa oleifera et les asticots respectivement pour les aliments D2, D3, D4 et D5.

Au terme de l’expérimentation, des différences significatives ont été observées sur les performances de croissance et d’utilisation des aliments entre le régime témoin (D1) et les autres régimes (D2 à D5) sans farine de poisson.

La survie et l’utilisation des aliments ont été significativement affectées par les ratios entre les feuilles de Moringa oleifera et la farine d’asticots dans les régimes testés avec les meilleurs résultats obtenus avec le régime D2 (ratio 3:5).

Le mélange d’asticots et de feuilles de Moringa oleifera peut totalement remplacer la farine de poisson dans les régimes d’Oreochromis niloticus mais l’utilisation d’additifs alimentaires, de phytase et d’un traitement thermique préalable aux matières premières (végétal notamment) augmenterait l’appétibilité et la digestibilité des sources non conventionnelles de protéines utilisées. Tout ceci pour optimiser la biodisponibilité des acides aminés et ainsi la croissance des poissons.

Citation :

Djissou, S.M.A., Tossavi, C.E., Odjo, N.I., Koshio, S., Fiogbe, E.D., 2019. Use of Moringa oleifera Leaves and Maggots as Protein Sources in Complete Replacement for Fish Meal in Nile tilapia (Oreochromis niloticus) Diets. Turkish J. Fish. Aquat. Sci. 20, 177–183.

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Typologie des résidus organiques attirant les mouches et leur utilisation dans le secteur agricole au sud du Bénin

L’utilisation de larves de mouches comme source de protéines pour la volaille et agent de biodégradation de substrats organiques tels que le fumier s’avère être une technologie prometteuse et innovante pour les agriculteurs pauvres en ressources.

L’étude visait à catégoriser les substrats organiques en fonction de leur capacité à attirer les mouches et à produire des larves de mouches, et à discuter de leur utilisation dans le domaine agricole au sud du Bénin.

La plupart des agriculteurs avaient des connaissances limitées sur l’utilisation des larves de mouches pour nourrir la volaille. Certains d’entre eux n’étaient pas conscients du rôle des larves de mouches dans la dégradation des substrats organiques.

Trois utilisations de ces substrats organiques ont été évoquées par les éleveurs : l’engrais organique, la production de larves de mouches et l’alimentation pour la volaille.

Les intestins d’animaux, les carcasses, le fumier de volaille, le fumier de porc ont été mentionnés comme des résidus animaux attirant les mouches et potentiellement adaptés à la production de larves de mouches.

Les résidus végétaux appropriés pour la production de larves de mouches comprenaient des sous-produits agro-artisanaux tels que le son de soja, le son de maïs et le son de sorgho ; malt de brasserie, papaye pourrie, écorce de mangue et banane pourrie.

L’étude suggère que ces différents types de substrats soient évalués pour leur adéquation à la production de larves de mouches et que la qualité des résidus issus de la dégradation par les larves de mouches soit évaluée dans une perspective de reconstitution de la fertilité des sols.

Citation :

Bloukounon-Goubalan, A.Y., Saidou, A., Clottey, V., Chrysostome, C.A.A.M., Kenis, M., Mensah, G.A., 2017. Typology of organic residues attracting flies and their utilization in the agricultural sector in southern Benin. Int. J. Biol. Chem. Sci. 11, 2560–2572.

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Compromis de floraison et de synchronisation de maturité pour la qualité de l’ananas

Dans la filière ananas du Bénin, la mauvaise qualité des fruits empêche les producteurs d’ananas d’entrer sur le marché européen.

Nous avons étudié les effets des pratiques culturales courantes, la floraison et synchronisation de la maturité, (1) pour quantifier les compromis entre floraison et synchronisation de la maturité pour la qualité de l’ananas et la proportion de fruits exportables vers les marchés européens, et (2) déterminer l’effet des pratiques de récolte sur les attributs de qualité avec les cultivars Sugarloaf et Smooth Cayenne.

L’induction de la floraison artificielle a donné des fruits avec un poids d’infrutescence plus faible, un rapport couronne/infrutescence plus élevé en longueur, et une proportion de fruits exportables vers les marchés européens plus faible que l’induction de la floraison naturelle.

Les coûts des améliorations par induction naturelle de la floraison étaient énormes : les durées plus longues de la plantation à l’induction de la floraison et à la récolte, le nombre plus élevé de récoltes des fruits augmentant le coût de la main-d’œuvre et la plus faible proportion de plantes produisant des fruits par rapport aux cultures de plantes induites par la floraison artificielle.

L’induction de la maturité artificielle a diminué la concentration totale de solides solubles dans les fruits diminuant ainsi la proportion de fruits exportables vers les marchés européens, avec un avantage d’un temps légèrement plus court entre l’induction de la floraison et la récolte.

La récolte des fruits individuels à maturité optimale a donné des fruits avec des solides solubles totaux plus élevés dans les fruits induits par la maturité par rapport naturellement à la pratique de récolte des agriculteurs.

Étant donné les coûts énormes d’induction de floraison naturelle, les options pour utiliser efficacement l’induction de floraison artificielle pour obtenir des fruits de haute qualité est discutée.

Citation :

Hotegni, V.N.F., Lommen, W.J.M., Agbossou, E.K., Struik, P.C., 2015. Trade-Offs of Flowering and Maturity Synchronisation for Pineapple Quality. PLoS One 10, 1–28.

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Qualité sensorielle et sécurité des exhausteurs de goût commercialisés dans le sud et le centre du Bénin : une prospective des acteurs

Les consommateurs de afitin, un condiment traditionnel obtenu à partir de cotylédons fermentés de néré, ont récemment commencé à remarquer que le produit est fabriqué en incorporant secrètement les graines de soja dans la recette ce qui entraine une baisse de sa réputation.

Bien que afitin soit réputé pour ses bienfaits supposés pour la santé, le consommateur béninois des exhausteurs de goût ne considèrent pas que afitin seul en tant que produit peut augmenter le goût des aliments comme le font les cubes de bouillon.

En outre, les acteurs ont recommandé l’évaluation de la qualité nutritionnelle et sanitaire des exhausteurs de goût disponibles sur le marché local et de développer un exhausteur de goût à base de afitin qui répondent aux besoins des consommateurs.

Les consommateurs béninois choisissent leurs exhausteurs de goût principalement en considérant leur goût, leur arôme, leur prix et leur composition.

Afitin, un substitut potentiel à exhausteurs de goût commerciaux, sa consommation est entravée par (a) sa forte odeur, (b) la risques de réactions allergiques dues à sa consommation, et (c) la notion que sa production manque hygiène.

Les consommateurs considèrent qu’Afitin seul n’est pas capable de générer autant de saveur que des exhausteurs de goût commerciaux.

Les chercheurs recommandent l’évaluation de l’innocuité et valeur nutritive des exhausteurs de goût commerciaux (CTE) et le développement d’un exhausteur de goût en mélangeant l’Afitin de soja avec d’autres condiments.

Citation :

Sogbossi, C., Madodé, Y.E., Hounhouigan, M.H., Linnemann, A.R., Hounhouigan, D.J., 2016. Sensory quality and safety of taste enhancers commercialized in southern and central Benin : A stakeholder prospective. RUFORUM Work. Doc. Ser. 14, 935–940.

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Tourteau de Jatropha curcas (l.), substrat potentiel pour produire des asticots comme aliment pour les monogastriques d’élevage

Les graines de jatropha (Jatropha curcas) sont utilisées dans le monde entier pour produire du biodiesel et l’extraction d’huile génère une forte quantité de déchets appelée tourteau.

Le tourteau de Jatropha a une teneur élevée en protéines mais sa valorisation, par exemple en alimentation animale, est entravée par sa toxicité et ses propriétés anti-nutritionnelles.

Présentement, la seule façon évidente de l’utiliser est comme engrais organique dans les champs en plus d’avoir le potentiel d’être d’abord utilisé pour produire des larves de mouche avant d’être appliqué dans les champs.

Cette étude visait à produire des larves de mouches pour l’alimentation animale à partir de trois types de substrats exposés à des mouches domestiques naturelles : le tourteau de jatropha seul, la même graine tourteau enrichi de vers de terre pour aider à détoxifier et décomposer le tourteau, et le son de maïs, un substrat couramment utilisé dans la région pour produire des larves de mouches.

Les larves produites avec le tourteau de Jatropha contenaient plus de protéines et d’autres nutriments que ceux produits avec le son de maïs.

Ces résultats montrent que les tourteaux de graines de jatropha peuvent être valorisés en produisant les larves de mouches mais il reste à voir si les larves de mouches produites sur les tourteaux de jatropha ne sont pas toxiques pour les animaux.

Les rendements des larves de mouches produites dans cette étude sont satisfaisants mais pourraient être largement améliorés par l’ajout d’un attractif pour les mouches femelles ou modification de la structure physique du tourteau.

Cependant, il est nécessaire de déterminer si les larves de mouches produites à partir des tourteaux de jatropha conviennent à l’alimentation des animaux et ne contiennent pas de substances toxiques et facteurs antinutritionnels.

Citation :

Pomalégni, S.C.B., Gbemavo, C.D.S.J., Gnanglè, P.C., Djossou, S.R., Kenis, M., Babatounde, S., Glèlè Kakai, L.R., Mensah, G.A., 2018. Seed cake of jatropha curcas ( L .), potential substrate to produce maggots as feed for reared monogastric animals. J. Anim. Plant Sci. 28, 1591–1596.

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Relation entre les pratiques de gestion, l’infection fongique et l’aflatoxine du maïs stocké au Bénin

Le lien entre les pratiques de pré-récolte et de récolte et qualité post-récolte du maïs au Bénin (Afrique de l’Ouest) a été étudié de 1993 à 1995.

Les niveaux d’infection fongique et d’aflatoxine ont été évalués dans 300 magasins d’agriculteurs dans quatre zones agro-écologiques au début du stockage (échantillon A) et 6 mois plus tard (échantillon B).

Aspergillus flavus ont infecté de 10 à 20 % des grains de l’échantillon A (1993-1994) contrairement à l’échantillon B où les grains étaient infectés par A. flavus de 54 à 79 %.

Mais, en 1994-1995, l’infection à A. flavus a été plus élevé dans l’échantillon A (27 à 47 %) que dans l’échantillon B (8 à 26 %).

Les espèces Fusarium ont été trouvées dans 38 à 58 % des grains de l’échantillon pendant les deux années, mais a légèrement diminué à 29–51 % dans l’échantillon B.

Des effets agroécozonaux significatifs existaient dans les échantillonnages, mais n’étaient pas cohérents entre les échantillonnages et les années.

Les facteurs associés avec une augmentation de l’aflatoxine étaient : la plantation de variétés locales de maïs au sud du Bénin, en association avec le niébé, arachide ou manioc, l’utilisation d’engrais à base d’urée, les dommages créés aux maïs au champ, récolte prolongée, période de séchage long sur le terrain, et le vannage.

Des pratiques qui conduisent à une contamination réduite par les aflatoxines étaient : la plantation de variétés améliorées au nord du Bénin, cultures mixtes avec des légumes, l’utilisation d’engrais NPK, le séchage de la récolte des épis (sans l’enveloppe) pendant 60 à 90 jours, le tri des oreilles de mauvaise qualité.

Il est nécessaire de développer des paquets de technologies de pratiques de gestion efficace du stock de maïs.

Citation :

Hell, K., Cardwell, K.F., Poehling, H., 2003. Relationship between Management Practices , Fungal Infection and Aflatoxin for Stored Maize in Benin. J. Phytopathol. 698, 690–698.

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Impact de la salinité sur la production de tomate le long des zones côtières de la République du Bénin

La tomate est le légume le plus cultivé au Bénin. C’est une importante source de revenus qui contribue fortement à la réduction de la pauvreté au Sud du Bénin.

15 variétés de tomates ont été répertoriées dans la zone d’étude avec le nombre le plus élevé à Avlékété (7) et le plus faible à Djègbadji et Grand-Popo.

La salinité provoque des conditions défavorables qui restreignent la production végétale normale. Les facteurs qui contribuent de manière significative à la salinité étaient la salinité du sol, la brise humide de la marée haute en particulier entre juin et août et l’arrosage direct des cultures avec de l’eau salée.

Besoins d’accès au crédit agricole

La salinité dans les zones côtières du Bénin a affecté la croissance de la tomate, la longueur des feuilles et le nombre de feuilles, ce qui a réduit les rendements et dans les cas graves, le rendement total a été perdu.

Présence d’une grande variabilité dans la hauteur des plants, les feuilles, la qualité de la tomate, le rendement et la sensibilité aux stress environnementaux (salinité, inondations etc.) des variétés de tomates étudiées

Trois variétés, aclinkon, petomèche et sonafel, étaient modérément tolérantes à la salinité parmi les 15 variétés recensées. La hauteur des plants, le rendement et la qualité de la tomate ont été sérieusement affectés dans ces zones.

Développement de nouvelles variétés de tomates comme mesure d’adaptation pour surmonter les effets néfastes du changement climatique sur la production agricole.

Citation:

Ezin, V., Yabi, I., Ahanchede, A., 2012. Impact of salinity on the production of tomato along the coastal areas of Benin Republic. African J. Environ. Sci. Technol. 6, 214–223.

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