Que se passe-t-il entre l’accompagnement technico-institutionnel et l’adoption de l’agriculture biologique ? Une étude de cas du Bénin

Le débat actuel sur l’agriculture biologique met l’accent sur la durabilité des systèmes agricoles, les moyens de subsistance et la qualité des aliments sur le plan technique et économique, les facteurs influençant la conversion de l’agriculture biologique.

L’article vise à décrire les facteurs d’adoption associés aux systèmes d’appui technique mis en place pour la promotion de l’agriculture biologique, basée sur une étude de cas au Bénin.

Les facteurs importants qui ont affecté l’adoption de l’agriculture biologique étaient leurs perceptions des caractéristiques de la technologie, les facteurs économiques, l’appui institutionnel aux réseaux d’apprentissage sociotechniques, et le crédit acquis par les organisations non gouvernementales organisme de promotion de l’agriculture biologique.

Les besoins de compétence, d’appartenance sociale, et la sécurité des revenus agricoles agissent comme médiateurs psychosociaux entre l’appui technique et institutionnel et la motivation à se convertir à l’agriculture biologique.

Aux côtés de leurs capacités techniques, la capacité des agriculteurs conseillers pour faire face aux facteurs psychosociaux associés avec les systèmes de soutien institutionnel semble être crucial pour motiver les agriculteurs à adopter l’innovation.

La théorie cognitive de l’évaluation élargie pour traiter les problèmes de sécurité aide à explorer les interfaces entre les institutions système de soutien et l’adoption de l’agriculture biologique.

Citation :

Moumouni, I., Baco, M.N., Tovignan, S., Gbèdo, F., Nouatin, G.S., Vodouhê, S.D., Liebe, U., 2013. What happens between technico-institutional support and adoption of organic farming ? A case study from Benin. Org. Agr. 3, 1–8.

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Utilisation et connaissances des agriculteurs sur la diversité du pois cajan au Bénin, Afrique de l’Ouest

La compréhension des facteurs qui déterminent l’utilisation, par les agriculteurs, des ressources génétiques végétales est un élément clé non seulement pour concevoir des stratégies de conservation appropriées mais aussi pour promouvoir une production durable. Cependant, le Bénin est limité par les informations disponibles sur les connaissances des agriculteurs concernant les utilisations et la conservation du pois cajan.

Les agriculteurs béninois cultivent principalement le pois cajan pour ses céréales destinées à la consommation domestique.

La tige et les feuilles de pois d’Angole sont utilisées à des fins médicinales pour traiter le paludisme, les étourdissements, la rougeole et les infections oculaires.

Il n’y avait pas d’association significative entre le nombre de variétés détenues par ménage et l’âge du répondant, le nombre d’années d’expérience dans la culture du pois cajan, la taille du ménage, le nombre de membres de la famille engagés dans activités agricoles et le genre.

Les agriculteurs ont utilisé des critères tels que les couleurs des graines, la taille des graines, la hauteur des plantes, les groupes de maturité et le temps de cuisson pour classer leurs variétés. Les variétés à tégument blanc étaient les plus cultivées tandis que les variétés à tégument noir, rouge ou tacheté sont abandonnées et méritent d’être conservés.

Les connaissances sur les usages médicinaux du pois cajan sont transmises verticalement au sein de la communauté et le maintien des variétés du pois cajan au niveau des ménages ne dépend pas de facteurs socioculturels.

Cette étude contribuera à relever la sensibilisation aux diverses utilisations du pois cajan. En outre, il fournit la base pour la conception des stratégies de conservation des ressources génétiques du pois cajan.

Citation :

Ayenan, M.A.T., Danquah, A., Ahoton, L.E., Ofori, K., 2017. Utilization and farmers’ knowledge on pigeonpea diversity in Benin , West Africa. J. Ethnobiol. Ethnomed. 13:37, 1–13.

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Analyse socio-économique de la transformation Pachyrhizus erosus (L.) Urb. tubercules en gari au Bénin

Pachyrhizus erosus est une légumineuse qui produit des tubercules riches en nutriments (protéines, fer, zinc, etc.) qui sont utilisés dans divers types de transformation des aliments.

L’objectif de cette étude était d’analyser les producteurs et perception des transformateurs concernant la transformation des tubercules de P. erosus en gari dans des conditions à la ferme et sa rentabilité.

Les résultats ont montré que le gari mélangé avec 50 % de P. erosus était hautement apprécié en raison de sa plus grande capacité de fermentation que le gari de manioc.

L’analyse de sensibilité a révélé que lorsque le rendement du gari à base de P. erosus a augmenté de 30%, les transformateurs ont réalisé un profit de 25% du coût d’investissement.

Le traitement de P. erosus est bénéfique pour les transformateurs et les consommateurs l’apprécient plus que le gari de manioc.

Des analyses de sensibilité ont montré qu’une augmentation du rendement du gari mixte de 50% P. erosus améliore le profit des transformateurs, donnant aux producteurs la possibilité de réduire les ventes en prix unitaires et ainsi améliorer la qualité marchande.

La recherche sur la transformation du gari devrait donc être dirigé vers d’autres variétés à tubercules contenant moins d’eau.

Le gouvernement du Bénin doit promouvoir cette culture afin de nourrir sa population.

Citation :

Adegbola, P.Y., Padonou, S.W., Houessionon, P., Adjovi, N.A., Houssou, P., Ahouignan, S., Olou, D., Ahounou, J.L., Hell, K., Thiele, G., Fandohan, P., Mensah, G.A., 2015. Socio-economic analysis of processing Pachyrhizus erosus ( L .) Urb . tubers into gari in Benin. Int. J. Biol. Chem. Sci. 9, 2030–2040.

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Qualité sensorielle et sécurité des exhausteurs de goût commercialisés dans le sud et le centre du Bénin : une prospective des acteurs

Les consommateurs de afitin, un condiment traditionnel obtenu à partir de cotylédons fermentés de néré, ont récemment commencé à remarquer que le produit est fabriqué en incorporant secrètement les graines de soja dans la recette ce qui entraine une baisse de sa réputation.

Bien que afitin soit réputé pour ses bienfaits supposés pour la santé, le consommateur béninois des exhausteurs de goût ne considèrent pas que afitin seul en tant que produit peut augmenter le goût des aliments comme le font les cubes de bouillon.

En outre, les acteurs ont recommandé l’évaluation de la qualité nutritionnelle et sanitaire des exhausteurs de goût disponibles sur le marché local et de développer un exhausteur de goût à base de afitin qui répondent aux besoins des consommateurs.

Les consommateurs béninois choisissent leurs exhausteurs de goût principalement en considérant leur goût, leur arôme, leur prix et leur composition.

Afitin, un substitut potentiel à exhausteurs de goût commerciaux, sa consommation est entravée par (a) sa forte odeur, (b) la risques de réactions allergiques dues à sa consommation, et (c) la notion que sa production manque hygiène.

Les consommateurs considèrent qu’Afitin seul n’est pas capable de générer autant de saveur que des exhausteurs de goût commerciaux.

Les chercheurs recommandent l’évaluation de l’innocuité et valeur nutritive des exhausteurs de goût commerciaux (CTE) et le développement d’un exhausteur de goût en mélangeant l’Afitin de soja avec d’autres condiments.

Citation :

Sogbossi, C., Madodé, Y.E., Hounhouigan, M.H., Linnemann, A.R., Hounhouigan, D.J., 2016. Sensory quality and safety of taste enhancers commercialized in southern and central Benin : A stakeholder prospective. RUFORUM Work. Doc. Ser. 14, 935–940.

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Relation entre les pratiques de gestion, l’infection fongique et l’aflatoxine du maïs stocké au Bénin

Le lien entre les pratiques de pré-récolte et de récolte et qualité post-récolte du maïs au Bénin (Afrique de l’Ouest) a été étudié de 1993 à 1995.

Les niveaux d’infection fongique et d’aflatoxine ont été évalués dans 300 magasins d’agriculteurs dans quatre zones agro-écologiques au début du stockage (échantillon A) et 6 mois plus tard (échantillon B).

Aspergillus flavus ont infecté de 10 à 20 % des grains de l’échantillon A (1993-1994) contrairement à l’échantillon B où les grains étaient infectés par A. flavus de 54 à 79 %.

Mais, en 1994-1995, l’infection à A. flavus a été plus élevé dans l’échantillon A (27 à 47 %) que dans l’échantillon B (8 à 26 %).

Les espèces Fusarium ont été trouvées dans 38 à 58 % des grains de l’échantillon pendant les deux années, mais a légèrement diminué à 29–51 % dans l’échantillon B.

Des effets agroécozonaux significatifs existaient dans les échantillonnages, mais n’étaient pas cohérents entre les échantillonnages et les années.

Les facteurs associés avec une augmentation de l’aflatoxine étaient : la plantation de variétés locales de maïs au sud du Bénin, en association avec le niébé, arachide ou manioc, l’utilisation d’engrais à base d’urée, les dommages créés aux maïs au champ, récolte prolongée, période de séchage long sur le terrain, et le vannage.

Des pratiques qui conduisent à une contamination réduite par les aflatoxines étaient : la plantation de variétés améliorées au nord du Bénin, cultures mixtes avec des légumes, l’utilisation d’engrais NPK, le séchage de la récolte des épis (sans l’enveloppe) pendant 60 à 90 jours, le tri des oreilles de mauvaise qualité.

Il est nécessaire de développer des paquets de technologies de pratiques de gestion efficace du stock de maïs.

Citation :

Hell, K., Cardwell, K.F., Poehling, H., 2003. Relationship between Management Practices , Fungal Infection and Aflatoxin for Stored Maize in Benin. J. Phytopathol. 698, 690–698.

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Pratiques horticoles et diversité variétale du piment (Capsicum annuum L.) au Centre et Nord du Bénin

Les piments jouent un rôle important dans le régime alimentaire mondial et peut contribuer à l’amélioration de revenus des producteurs horticoles notamment au Bénin.

Douze sont les contraintes de production identifiées dont les plus importantes sont la faible productivité (19 %), l’infertilité des sols (18,5 %), la sécheresse (18,3 %), les ravageurs et la sensibilité aux maladies (17,9 %) et la chute précoce des organes végétaux (15 %).

L’infertilité des sols représente l’un des plus grands défis de la production du piment au Bénin.

Mauvaise application d’engrais provoquant également, selon agriculteurs, le jaunissement et la chute précoce des fleurs et des fruits

77 variétés de piment dont 72 locaux et cinq variétés introduites ont été retrouvés avec une variation des variétés de trois à sept par village et d’un à cinq par ménage.

Taux de perte de diversité par village varie de 0 à 75 % avec une moyenne de 26,61 %. Raisons importantes évoquées : 1Sensibilité aux ravageurs et aux maladies (37,1 % des réponses), 2chute précoce des organes végétaux (11,6 % des réponses) et 3la sensibilité à la sécheresse (8,5 %).

Critères de préférence variétale des agriculteurs essentiellement agronomiques (90,4 % des réponses).

Le village d’Attata présentait la plus grande diversité variétale globale et apparait le plus indiqué pour un programme éventuel de conservation in situ.

Les caractérisations agro morphologiques et moléculaires sont nécessaires pour identifier les doublons et clarifier la synonymie. Des essais agronomiques devraient également être menés pour s’assurer des informations déclarées sur les performances pour leur optimisation dans les programmes de développement.

Citation:

Orobiyi, A., Loko, Y.L., Sanoussi, F., Adjatin, A., Gbaguidi, A., Dansi, A., Sanni, A., 2017. Horticultural practices and varietal diversity of chili pepper (Capsicum annuum L .) in Central and Northern Benin. Genet. Resour. Crop Evol. 64, 419–436.

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Utilisation par les agriculteurs de parents sauvages et reproduction sexuée dans une culture à multiplication végétative : Cas de l’igname au Bénin

L’impact de la gestion paysanne traditionnelle sur la diversité génétique des cultures propagées sont mal documentées.

Beaucoup d’ignames collectées par les agriculteurs dans les environs des zones de savane destinées à l’ennoblissement se sont avérées être des génotypes sauvages et hybrides.

Certaines variétés d’ignames ont une signature sauvage ou hybride.

Analyse génétique plus large sur du matériel d’igname partout au Bénin avec son utilisation dans différents domaines écologiques et régions ethnolinguistiques.

Nouvelles variétés créées par les agriculteurs avec de nouvelles combinaisons génétiques via la reproduction sexuée des ignames sauvages et cultivées.

Mélange d’un cycle sexuel et de la propagation asexuée permet la culture potentielle à grande échelle des meilleurs génotypes tout en préservant le potentiel d’adaptation future.

Pratiques traditionnelles des agriculteurs préservant l’évolution du processus et améliorant la diversité génétique pour une espèce multipliée par voie végétative.

Facteurs agronomiques, sociaux et culturels expliquant le maintien de la pratique d’anoblissement dans certaines communautés agricoles restent largement méconnus.

Préservation des savoirs des agriculteurs, un des indicateurs pour une gestion durable des ressources phytogénétiques in situ.

Citation:

SCARCELLI, N., TOSTAIN, S., VIGOUROUX, Y., AGBANGLA, C., DAÏNOU, O., PHAM,  and J.-L., 2006. Farmers ’ use of wild relative and sexual reproduction in a vegetatively propagated crop . The case of yam in Benin. Mol. Ecol. 15, 2421–2431.

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Effets des huiles essentielles de plantes médicinales acclimatées au Bénin sur la fermentation ruminale in vitro de l’herbe Andropogon gayanus.

Les ruminants émettent du méthane, sous-produit inévitable de la fermentation microbienne des hydrates de carbone et des protéines par des microbes anaérobies dans le rumen.

Le méthane entérique est d’une importance fondamentale pour le maintien les réactions d’oxydoréduction, essentielles au fonctionnement du rumen.

Les pertes de méthane entérique ont un impact négatif à la fois sur l’hôte et sur l’environnement, car elles réduisent l’efficacité de l’utilisation des aliments et constituent un puissant gaz à effet de serre.

Il est souhaitable de développer des stratégies qui atténuent la production de méthane entérique.

Citrus aurantifolia (Christm). Swing, Eucalyptus citriodora Hook, Laurus nobilis L., Mentha piperita L., Ocimum gratissimum L., Zingiber officinalis Rosc. sont des plantes médicinales acclimatées au Bénin (Afrique de l’Ouest).

Les Huiles Essentielles (HE) des 7 plantes médicinales ont modifié in vitro la fermentation microbienne du rumen et réduit la production ruminale de méthane à partir de fourrage herbacé d’Andropogon gayanus.

Par rapport au contrôle, Laurus nobilis (300-400 mg/L), Citrus aurantifolia (300-400mg/L) et Ocimum gratissimum (200-400mg/L) ont diminué significativement la production de méthane (mL/g MS) de 8,1-11,8%, 11,9-17,8% et 7,9-30,6%, respectivement.

Par rapport au témoin, des réductions de méthane de 11,4 %, 13,5 % et 14,2 % ont été observées seulement à 400mg/L pour Eucalyptus citriodora, Ocimum basilicum et Cymbopogon citratus, respectivement.

Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer un taux de dose efficace et si ces HE pourraient potentiellement bénéficier à la fermentation ruminale et réduire la production de méthane lorsqu’elles sont utilisées avec d’autres types d’aliments.

Citation :

Kouazounde, J.B., Jin, L., Assogba, F.M., Ayedoun, M.A., Wang, Y., Beauchemin, K.A., McAllister, T.A., Gbenou, J.D., 2015. Effects of essential oils from medicinal plants acclimated to Benin on in vitro ruminal fermentation of Andropogon gayanus grass. Journal of the Science of Food and Agriculture 95, 1031–1038.

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Les évidences pour mieux décider pour le développement local : Une analyse de l’état de la production et de l’utilisation des évidences pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Benin.

Presque toutes les municipalités sont conscientes de l’importance des évidences scientifiques dans la prise de décisions dans tous les secteurs de développement en particulier dans les secteurs de la santé et de l’alimentation et de la nutrition.

Les évidences utilisées par les collectivités locales incluent les statistiques, les croyances locales, les connaissances endogènes, les opinions citoyennes, et plus généralement les orientations politiques du gouvernement central.

Pour obtenir des évidences, les autorités locales se tournent vers les organisations de la société civile, les hôpitaux, l’Institut national de la statistique et de l’analyse économique et les partenaires techniques et financiers, et rarement vers la communauté des chercheurs, même si ceux-ci sont théoriquement connus comme étant la source traditionnelle des évidences.

Les facteurs qui limitent l’utilisation quotidienne des évidences par les collectivités locales sont entre autres : le déficit de ressources humaines qualifiées, le fossé entre les municipalités et la communauté des chercheurs, un accès difficile aux évidences (faible accès à l’internet, un manque d’équipement informatique, l’éparpillement et la qualité des évidences).

Pour promouvoir et améliorer l’utilisation des évidences dans le domaine de la SAN par les collectivités locales, il est recommandé de renforcer la culture et le système d’utilisation des évidences par l’institutionnalisation, le renforcement des capacités et la mise en relation des producteurs et utilisateurs des évidences.

Citation :

Gbedomon, R.C., Houessou, D.M., Thoto, F.S., 2021. Les évidences pour mieux décider pour le développement local : Une analyse de l’état de la production et de l’utilisation des évidences pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Benin.

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Diversité des espèces végétales d’importance, négligées et sous-utilisées au Bénin.

Les Africains en général et les Béninois en particulier souffrent ou meurent de malnutrition au milieu d’une grande diversité de cultures alimentaires hautement nutritives, par ignorance ou par négligence.

Les raisons de cette négligence varient selon les producteurs et les techniciens agricoles.

Une étude menée dans 50 villages au Bénin a révélé 41 espèces végétales négligées et sous-utilisées (NUCS).

Les raisons de cette négligence varient selon les producteurs et les techniciens agricoles.

Les raisons importantes de cette négligence sont le manque de soutien financier pour la recherche orientée vers les cultures négligées, l’absence de politique nationale de promotion, le manque de marchés organisés, la sensibilité aux parasites et aux maladies, le manque de pratiques culturales et de variétés améliorées, le faible rendement et la production laborieuse.

19 des 41 espèces ont été identifiées comme prioritaires sur la base de 10 critères à savoir : ampleur de la production, ampleur de la consommation, degré de consommation, valeur nutritionnelle perçue, importance culturelle, propriétés médicinales, utilisation commerciale, valeur marchande, contribution au revenu du ménage et contribution à l’autonomisation des femmes.

Les NUCS ont une valeur nutritionnelle et médicinale intéressante et sont une source importante de revenus pour les ménages.

La promotion des NUCS va contribuer de manière substantielle à la réduction de la pauvreté et à la lutte contre la malnutrition au Bénin.

Pour la promotion de ces espèces végétales négligées et sous-utilisées au Bénin, il sera important de mettre en place un programme national et spécial de recherche et de développement.

Dansi, A., Vodouhè, R., Azokpota, P., Yedomonhan, H., Assogba, P., Adjatin, A., Loko, Y.L., Dossou-Aminon, I., Akpagana, K., 2012. Diversity of the neglected and underutilized crop species of importance in Benin. TheScientificWorldJournal 2012.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Diversity of the neglected and underutilized crop species of importance in Benin.»

 

 

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