Utilisation de variétés locales de riz pour la production du Ablo au Bénin

Ablo est un gâteau à base du maïs qui est cuit à la vapeur. De nos jours, le maïs est de plus en plus remplacé par le riz importé pour préparer du Ablo alors qu’il existe au Bénin des variétés de riz propices à la production du  Ablo.

L’objectif de l’étude est de tester cinq variétés locales de riz pour la préparation du Ablo. Trois parmi trente transformatrices du  Ablo enquêtées à Porto-Novo, Adjarra et Sèmè-Podji ont été choisies pour préparer du Ablo avec les variétés locales BL19, NERICAL20, NERICA2, NERICA6, V82 et un riz importé Warrior (riz de référence).

L’enquête a montré qu’actuellement aucune variété locale n’est utilisée pour préparer du Ablo dans la zone d’étude. Le riz importé Warrior est le plus utilisé avec plus de 76 % des personnes enquêtées.

L’analyse sensorielle sur la qualité organoleptique des Ablo a montré que la texture, la couleur, le goût et l’acceptabilité générale, des Ablo des variétés locales étuvées sont désagréables par rapport Ablo obtenu avec le riz de référence.

Ablo issu de la forme non étuvée des cinq variétés ont été acceptés par les dégustateurs surtout ceux des variétés NERICA6 (70 %), NERICA2 (93,33 %) et V82 (73,33 %) ont été plus appréciés que la référence.

Aucune différence significative n’a été observée entre la luminance, le volume spécifique et le nombre d’alvéoles/cm des Ablo provenant de ces trois dernières variétés locales par rapport à Ablo de référence.

Ces variétés locales non étuvées NERICA6, NERICA2 et V82 permettent de préparer du Ablo de bonne qualité apprécié par les consommateurs.

Ainsi l’adoption de ces variétés locales pour la préparation du Ablo contribuera à la promotion et la valorisation de  riz local.

Citation :

Dansou, V., Houssou, A.P., Soumanou, M.M., Mensah, A., 2015. Utilisation de variétés locales de riz pour la production du Ablo au Bénin. Ann. des Sci. Agron. 19, 575–588.

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Compromis de floraison et de synchronisation de maturité pour la qualité de l’ananas

Dans la filière ananas du Bénin, la mauvaise qualité des fruits empêche les producteurs d’ananas d’entrer sur le marché européen.

Nous avons étudié les effets des pratiques culturales courantes, la floraison et synchronisation de la maturité, (1) pour quantifier les compromis entre floraison et synchronisation de la maturité pour la qualité de l’ananas et la proportion de fruits exportables vers les marchés européens, et (2) déterminer l’effet des pratiques de récolte sur les attributs de qualité avec les cultivars Sugarloaf et Smooth Cayenne.

L’induction de la floraison artificielle a donné des fruits avec un poids d’infrutescence plus faible, un rapport couronne/infrutescence plus élevé en longueur, et une proportion de fruits exportables vers les marchés européens plus faible que l’induction de la floraison naturelle.

Les coûts des améliorations par induction naturelle de la floraison étaient énormes : les durées plus longues de la plantation à l’induction de la floraison et à la récolte, le nombre plus élevé de récoltes des fruits augmentant le coût de la main-d’œuvre et la plus faible proportion de plantes produisant des fruits par rapport aux cultures de plantes induites par la floraison artificielle.

L’induction de la maturité artificielle a diminué la concentration totale de solides solubles dans les fruits diminuant ainsi la proportion de fruits exportables vers les marchés européens, avec un avantage d’un temps légèrement plus court entre l’induction de la floraison et la récolte.

La récolte des fruits individuels à maturité optimale a donné des fruits avec des solides solubles totaux plus élevés dans les fruits induits par la maturité par rapport naturellement à la pratique de récolte des agriculteurs.

Étant donné les coûts énormes d’induction de floraison naturelle, les options pour utiliser efficacement l’induction de floraison artificielle pour obtenir des fruits de haute qualité est discutée.

Citation :

Hotegni, V.N.F., Lommen, W.J.M., Agbossou, E.K., Struik, P.C., 2015. Trade-Offs of Flowering and Maturity Synchronisation for Pineapple Quality. PLoS One 10, 1–28.

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Analyse socio-économique de la transformation Pachyrhizus erosus (L.) Urb. tubercules en gari au Bénin

Pachyrhizus erosus est une légumineuse qui produit des tubercules riches en nutriments (protéines, fer, zinc, etc.) qui sont utilisés dans divers types de transformation des aliments.

L’objectif de cette étude était d’analyser les producteurs et perception des transformateurs concernant la transformation des tubercules de P. erosus en gari dans des conditions à la ferme et sa rentabilité.

Les résultats ont montré que le gari mélangé avec 50 % de P. erosus était hautement apprécié en raison de sa plus grande capacité de fermentation que le gari de manioc.

L’analyse de sensibilité a révélé que lorsque le rendement du gari à base de P. erosus a augmenté de 30%, les transformateurs ont réalisé un profit de 25% du coût d’investissement.

Le traitement de P. erosus est bénéfique pour les transformateurs et les consommateurs l’apprécient plus que le gari de manioc.

Des analyses de sensibilité ont montré qu’une augmentation du rendement du gari mixte de 50% P. erosus améliore le profit des transformateurs, donnant aux producteurs la possibilité de réduire les ventes en prix unitaires et ainsi améliorer la qualité marchande.

La recherche sur la transformation du gari devrait donc être dirigé vers d’autres variétés à tubercules contenant moins d’eau.

Le gouvernement du Bénin doit promouvoir cette culture afin de nourrir sa population.

Citation :

Adegbola, P.Y., Padonou, S.W., Houessionon, P., Adjovi, N.A., Houssou, P., Ahouignan, S., Olou, D., Ahounou, J.L., Hell, K., Thiele, G., Fandohan, P., Mensah, G.A., 2015. Socio-economic analysis of processing Pachyrhizus erosus ( L .) Urb . tubers into gari in Benin. Int. J. Biol. Chem. Sci. 9, 2030–2040.

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Analyse socio-économique de la culture de Pachyrhizus erosus au Bénin : analyse de la fonction de rentabilité et de coût

L’introduction de la culture de P. erosus au Bénin est pour les producteurs une alternative pour améliorer leur système de culture et pour la population d’améliorer son système alimentaire.

Ainsi, pour lever les différentes contraintes liées à l’adoption de P. erosus, cette étude a analysé les perceptions des producteurs et les performances économiques de P. erosus introduit au Sud et au Centre du Bénin.

Les résultats ont révélé que la production de P. erosus est très rentable avec une marge nette de Fcfa/ha 2 064 284,63 /ha contre Fcfa/ha 192 152,01 /ha, Fcfa/ha 551 900,93 /ha et Fcfa/ha 109 351,28 /ha respectivement pour le manioc, la patate douce et le maïs.

L’étude réalisée dans la zone d’expérimentation, nous a permis de connaître la perception des producteurs sur la culture de P. erosus ; d’estimer ses performances techniques et économiques.

Malgré les contraintes liées à la production de P. erosus, il est très apprécié des expérimentateurs, en raison de ses nombreux avantages tels que la transformation en gamme variée de produits dérivés, sa haute teneur en nutriments et l’amélioration de la fertilité des sols.

Au vu des résultats économiques, P. erosus est plus rentable et sa rémunération foncière est supérieure à celle des grandes cultures.

En outre, les prix des semences, des engrais, du capital et des salaires payés pour embaucher de la main-d’œuvre affectent la demande d’intrants comme les semences, le capital, la main-d’œuvre et les engrais.

La recherche doit donc mettre un accent particulier sur la recherche de solutions adaptées aux contraintes identifiées.

De même, le volet commercialisation doit être développé afin d’aider les producteurs à trouver des débouchés.

Citation:

Adegbola, P.Y., Adjovi, N.A., Houessionon, P., Alokpai, N., Hell, K., Thiele, G., Fandohan, P., Mensah, G., 2015. Socio – economic analysis of Pachyrhizus erosus cultivation in Benin : Profitability and cost function analysis . In: International Conference of Agricultural Economists. Milano, pp. 1–23.

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Modèle saisonnier de la cueillette de nourriture de la fourmi tisserande Oecophylla longinoda (Hymenoptera : Formicidae) dans les vergers de manguiers au Bénin

La bio-écologie de la fourmi tisserande Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera Formicidae) a été peu documentée en Afrique de l’Ouest en particulier concernant la cueillette de nourriture dans les vergers de manguiers au cours des saisons.

Comme de nombreuses espèces de fourmis, les fourmis tisserandes collectent deux types de nourriture, les glucides comme le miellat provenant de différents hémiptères et des protéines de divers arthropodes capturés par les ouvrières.

Les activités de capture de proies et de récupération de nourriture d’Oecophylla longinoda ont été suivi par des échantillonnages hebdomadaires réguliers pendant deux années consécutives (2009-2010) dans un grand verger de manguiers du département du Borgou au Bénin (Afrique de l’Ouest), principale zone de production de mangue située dans la zone agro-écologique soudanienne.

Au cours des deux années, la compétition interspécifique avec d’autres fourmis s’est produite principalement pendant la saison sèche (janvier à mars) entraînant une augmentation des captures de Formicinae, Myrmicinae et Ponerinae.

Plus de proies ont été capturées pendant la pluie (fin avril à fin octobre) que pendant le reste de l’année, avec Diptera et les proies des coléoptères culminant en mai et juin respectivement, avec la mangue de saison.

Comme les proies des insectes diminuaient rapidement de novembre à décembre, les fourmis tisserandes ramassaient de plus en plus de graines et de débris végétaux.

Un total de 241 espèces d’insectes a été capturé dont 61 espèces (25,3%) associées à la mangue et quelques noix de cajou, dont 48 espèces nuisibles à la mangue (78,7 % des espèces associées au manguier). Seules cinq espèces (2,1 %) d’insectes utiles ont été capturées.

La présence de colonies d’O. longinoda est bénéfique pour les arbres vivaces systèmes de culture tels que la mangue et la noix de cajou.

Citation :

Vayssières, J., Ouagoussounon, I., Adandonon, A., Sinzogan, A., Korie, S., Todjihoundé, R., Alassane, S., Wargui, R., Anato, F., Goergen, G., 2015. Seasonal pattern in food gathering of the weaver ant Oecophylla longinoda ( Hymenoptera : Formicidae ) in mango orchards in Benin. Biocontrol Sci. Technol. 25, 1359–1387.

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Risque environnemental élevé et faible rendement des jardins de tomates urbains au Bénin

L’agriculture urbaine détient le plus de potentiel pour nourrir une population croissante, lutter contre la pauvreté urbaine et assurer la sécurité alimentaire.

Grande variabilité des rendements expliquée par des pratiques agricoles non optimales conduisant à de graves dommages causés par les parasites.

Application systématique des insecticides par les agriculteurs contrairement à leur utilisation occasionnelle pour le contrôle des maladies et des nématodes.

Helicoverpa armigera également appelé « ver de la capsule du cotonnier » est le principal ravageur de la tomate du jardin urbain et sensible aux pyréthroïdes.

Difficulté des agriculteurs à identifier des ravageurs avec pour corolaire, un choix inadéquat des insecticides avec une faible efficacité.

Risque élevé de perte entière de la récolte malgré les nombreux traitements d’insecticides lors d’une attaque précoce de Tetranychus evansi.

Difficultés des agriculteurs à distinguer les maladies fongiques et bactériennes à partir de symptômes de virus tels que la cloque jaune de la tomate, virus transmis par l’aleurode Bemisia tabaci, entraînant à nouveau un choix inadéquat et une faible efficacité des produits.

Pratiques de lutte antiparasitaire susceptibles de résulter d’un manque de connaissances et de soutien technique. Il existe une corrélation entre la pression foncière des cultures et le niveau d’intensification des pratiques de fertilisation.

Gestion de l’irrigation particulièrement intensive (pas optimale) avec des quantités élevées et variables des apports d’eau conduisant à des consommations de carburant importantes et variables (la plupart des types de systèmes de culture utilisant des pompes).

Mauvaises pratiques et risques élevés pour la santé et l’environnement dans la production urbaine de tomates.

Citation:

Perrin, A., Basset-mens, C., Huat, J., Yehouessi, W., 2015. High environmental risk and low yield of urban tomato gardens in Benin. Agron. Sustain. Dev. 35, 305–315.

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Pratiques de lutte des agriculteurs contre l’araignée rouge envahissante, Tetranychus evansi Baker & Pritchard au Bénin

La production horticole dominée par les hommes à 84% est la principale activité de la majorité des fermiers dans les 3 villes

La majorité des agriculteurs peuvent identifier T. evansi avec de dommages très graves 100% à Sèmè-Kpodji, 97% à Pahou et 78% à Grand Popo. Ce qui les contraint tous à l’utilisation des insecticides qui apparaissent inefficaces.

La combinaison de moustiquaires imprégnées d’acaricide avec la libération du prédateur P. longipes pourraient également aider à protéger les cultures maraîchères contre l’araignée rouge. Le développement de cette approche parait prometteur dans le contrôle de T. evansi

Augmentation de la fréquence et de la dose des applications de pesticides même en cas d’inefficacité contre les ravageurs.

Utilisation de pratiques phytosanitaires dangereuses par les producteurs contre les épidémies d’araignées rouges, une menace très sérieuse à la santé publique et à la sécurité environnementale au Bénin.

Citation:

Azandémè-Hounmalon, G.Y., Affognon, H.D., Komlan, F.A., Tamò, M., Fiaboe, K.K.M., Kreiter, S., Martin, T., 2015. Farmers’ control practices against the invasive red spider mite, Tetranychus evansi Baker & Pritchard in Benin. Crop Prot. 76, 53–58.

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Contraintes liées au développement de la culture du taro (Colocasia esculenta) au sud-Bénin

128 producteurs de taro sont identifiés dans 4 villages. Ces derniers éprouvent des difficultés face aux exigences de la culture.

L’espèce de taro rencontrée est Colocasia esculenta avec deux cultivars : le cultivar blanc et le cultivar rouge.

Le taro est très exigeant en eau et en matière organique, les producteurs pratiquent beaucoup plus la monoculture, sans rotation. Sa culture continue épuise le sol.

Le manque de connaissance sur la maîtrise des règles de semis et de densité de plantation ainsi que l’itinéraire technique par les producteurs.

Manque de matériel de reproduction de qualité et de structures pour leur en fournir. Ces derniers conduisent au faible rendement obtenu à la fin du cycle cultural (10 à 12 mois).

L’association de la culture de taro est encouragée dans d’autres pays et sa commercialisation se fait sans mévente.

Nécessité d’efforts pour la sélection variétale du taro à haut rendement et à cycle court.

Formation des producteurs sur les techniques culturales et la mise à disposition du matériel de reproduction de qualité.

Citation :  Houngbo, N. E., Abiola, A., Adandonon, A., 2015. Contraintes liées au développement de la culture du taro (Colocasia esculenta) au sud-Bénin. International Journal of Neglected and Underutilized Species. 1, 1-9.

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Analyse des facteurs déterminants l’opinion des petits agriculteurs sur l’adoption de moustiquaires écologiques pour la production de légumes.

Une approche innovante pour réduire l’utilisation de pesticides (d’au moins 70 %, parfois même de 100 %) par les producteurs de légumes consiste à exclure une grande partie des insectes nuisibles à l’aide de filets, appelés “filets écologiques” (EFN).

Dans les régions tropicales du Bénin, des filets à maille fine (0,4 mm) et à maille plus large (0,9 mm) sont utilisés pour protéger les choux des principaux lépidoptères et des pucerons.

Les EFN nécessitent des coûts de main d’œuvre élevés car ils doivent être retirés pendant la journée pour éviter la surchauffe, l’ombrage et permettre la régulation des pucerons par leurs ennemis naturels.

18% des agriculteurs pensent que les EFN leur seraient bénéfiques, mais près de la moitié préfèrent ne pas adopter du tout cette technologie.

La principale raison du rejet des filets est la perception d’un besoin élevé en main-d’œuvre, en particulier sur les grandes parcelles.

La perception largement négative était la plus forte parmi les agriculteurs ayant de grandes surfaces cultivées en légumes, les agriculteurs ayant peu ou jamais participé à des essais de démonstration, et ceux vivant loin des services de vulgarisation.

Pour une acceptation et une utilisation totale des EFN, il est recommandé : i) d’étendre les essais démonstration en impliquant une plus grande proportion d’agriculteurs, ii) de renforcer le soutien pour ceux qui veulent utiliser les moustiquaires et de poursuivre les améliorations pour réduire la pénibilité d’utilisation, iii) d’améliorer l’accès au financement et de renforcer l’éducation sur les impacts négatifs de l’abus d’insecticides.

Citation :

Vidogbéna, F., Adégbidi, A., Tossou, R., Assogba-Komlan, F., Martin, T., Ngouajio, M., Simon, S., Parrot, L., Garnett, S.T., Zander, K.K., 2015. Exploring factors that shape small-scale farmers’ opinions on the adoption of eco-friendly nets for vegetable production. Environment, Development and Sustainability 2015 18:6 18, 1749–1770.

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Evaluation des effets des rhizobactéries promotrices de la croissance végétative sur la croissance du maïs en condition de serre au Sud-Bénin.

Le maïs est la première culture au Bénin, en termes de superficie et occupe une place prépondérante dans la stratégie de sécurité alimentaire de la population au Bénin.

Malgré son importance, la production du maïs est caractérisée par une faible productivité du fait de l’incapacité des producteurs à se procurer les engrais et les pesticides chimiques.

La mise au point et l’introduction de l’utilisation des microorganismes du sol comme une alternative aux produits chimiques oréneux dans l’agriculture au Bénin, seraient un atout majeur pour accroître la production, tout en diminuant les quantités d’engrais chimiques et produits phytosanitaires à utiliser, sachant que l’inoculation des semences avec des rhizobactéries se traduit généralement par des accroissements de rendement d’environ 10 à 30%.

L’inoculation des rhizobactéries Pseudomonas putida, P. aeroginosa, P. fluorescens, Streptomyces hygroscopicus, S. rimosus, S. fasciculatus, Azospirillium lipoferum, Bacillus coagulans, B. hurengensis, B.pumilus, B. polymixa, B. lichemiformis, B. lentus, B. circulans et B. fimosus n’a pas eu un effet significatif sur la croissance (hauteur, nombres de feuilles, état nutritionnel) des plants de maïs inoculés dans la serre du Centre de Recherches Agricoles à Niaouli, au cours du premier mois de leur cycle végétatif.

La stérilisation du substrat et les conditions environnementales dans la serre du Centre de Recherches Agricoles à Niaouli (absence de circulation de l’air à l’intérieur) n’ont pas permis l’expression des potentialités des rhizobactéries.

L’étude doit être poursuivi en améliorant les conditions de l’expérimentation.

Citation :

Adjanohoun, A., Allagbé, M., Gotoechan-Hodonou, H., Dossa, K.K., Aguégué, R., Adeyemi, J., Bossou, M., Babio, S., Baba-Moussa, L., Glèlè-Kakaï, R.L., 2011. Evaluation des effets des rhizobactéries promotrices de la croissance végétative sur la croissance du maïs en condition de serre au Sud-Bénin. Bulletin de la Recherche Agronomique du Bénin 59–65.

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