Combinaison de rendements élevés et de résistance à la pyriculariose chez le riz (Oryza spp.) : Un criblage dans des conditions de plateau et de bas-fond au Bénin

15 caractères agronomiques ont été évalués dans deux expériences de terrain (bas-fond et haut-fond) afin de mieux comprendre les performances des accessions résistantes à la pyriculariose sélectionnées ainsi que de certaines variétés actuellement cultivées.

une grande variabilité phénotypique est observée entre les accessions. En outre, des différences ont été observées dans la performance des accessions dans les conditions de bas-fond et de plateau.

La hauteur des plantes et les talles sont en général sensibles aux conditions environnementales.

Rendement élevé des accessions de riz résistant à l’explosion, qu’il s’agisse d’Oryza sativa ou d’O. glaberrima.

Le rendement et la fertilité des épillets dépendent de la durée du cycle de croissance.

Combinaison de grande variabilité phénotypique et des traits intéressants peut aider à développer de nouvelles variétés résistantes.

Influence substantielle des facteurs environnementaux sur la performance différentielle de riz du plateau et du bas-fond.

Le développement de nouvelles variétés de riz résistantes à la pyriculariose pour les conditions de culture au Bénin se rattache au potentiel de la sélection de base identifiée de la collection de germoplasme de riz africain.

Amélioration de la productivité du riz en fonction de la relation génétique entre les caractères agronomiques associés à la résistance de la pyriculariose et la structure génétique des accessions du riz.

Citation :

Yelome, O. I., Kris Audenaert, K., Landschoot, S., Dansi, A., Vanhove, W., Drissa Silue, D., Patrick Van Damme, P. V., Haesaert, G., 2018. Combining High Yields and Blast Resistance in Rice (Oryza spp.): A Screening under Upland and Lowland Conditions in Benin. Sustainability. 10, 1–16.

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Effets combinés de la jachère de Stylosanthes guianensis et de la gestion du travail du sol sur le rendement, les mauvaises herbes et les sols du riz pluvial dans le sud du Bénin

Deux champs moins de 15 m l’un de l’autre ont été utilisés dans cette étude et classifié comme Typique Haplustult selon la taxonomie des sols américaine.

Stylosanthes guianensis (stylo) peut être établi comme une culture relais avec le riz pluvial environ 10 jours après le semis du riz. Réduction  de la biomasse des mauvaises herbes (71 % et 95 %) par la jachère de stylo.

L’augmentation du rendement du riz est en adéquation avec l’augmentation des apports de la biomasse de la jachère due à l’introduction du stylo.

L’augmentation de la biomasse des mauvaises herbes (62 à 202 %) par le sol non-travaillé sans jachère de stylo tandis que la jachère stylo réduit la biomasse des mauvaises herbes de 45 à 83 % et de 11 à 36 %, respectivement dans le cadre de la gestion sans labour et du sol travaillé manuel.

Le rendement du riz est plus élevé avec le travail manuel du sol qu’avec le non-travail du sol, indépendamment des différents traitements de jachères.

La combinaison de la gestion du sol travaillé manuel avec la jachère stylo semble être une stratégie efficace pour améliorer la productivité du riz pluvial et est incluse comme composante des technologies de gestion intégrée des cultures dans les savanes d’Afrique de l’Ouest.

Citation :

Saito, K., Azoma, K., Oikeh, S. O., 2010. Combined effects of Stylosanthes guianensis fallow and tillage management on upland rice yield, weeds and soils in southern Benin. Soil & Tillage Research. 107, 57–63.

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Analyse des facteurs déterminants l’opinion des petits agriculteurs sur l’adoption de moustiquaires écologiques pour la production de légumes.

Une approche innovante pour réduire l’utilisation de pesticides (d’au moins 70 %, parfois même de 100 %) par les producteurs de légumes consiste à exclure une grande partie des insectes nuisibles à l’aide de filets, appelés “filets écologiques” (EFN).

Dans les régions tropicales du Bénin, des filets à maille fine (0,4 mm) et à maille plus large (0,9 mm) sont utilisés pour protéger les choux des principaux lépidoptères et des pucerons.

Les EFN nécessitent des coûts de main d’œuvre élevés car ils doivent être retirés pendant la journée pour éviter la surchauffe, l’ombrage et permettre la régulation des pucerons par leurs ennemis naturels.

18% des agriculteurs pensent que les EFN leur seraient bénéfiques, mais près de la moitié préfèrent ne pas adopter du tout cette technologie.

La principale raison du rejet des filets est la perception d’un besoin élevé en main-d’œuvre, en particulier sur les grandes parcelles.

La perception largement négative était la plus forte parmi les agriculteurs ayant de grandes surfaces cultivées en légumes, les agriculteurs ayant peu ou jamais participé à des essais de démonstration, et ceux vivant loin des services de vulgarisation.

Pour une acceptation et une utilisation totale des EFN, il est recommandé : i) d’étendre les essais démonstration en impliquant une plus grande proportion d’agriculteurs, ii) de renforcer le soutien pour ceux qui veulent utiliser les moustiquaires et de poursuivre les améliorations pour réduire la pénibilité d’utilisation, iii) d’améliorer l’accès au financement et de renforcer l’éducation sur les impacts négatifs de l’abus d’insecticides.

Citation :

Vidogbéna, F., Adégbidi, A., Tossou, R., Assogba-Komlan, F., Martin, T., Ngouajio, M., Simon, S., Parrot, L., Garnett, S.T., Zander, K.K., 2015. Exploring factors that shape small-scale farmers’ opinions on the adoption of eco-friendly nets for vegetable production. Environment, Development and Sustainability 2015 18:6 18, 1749–1770.

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Evaluation des procédés traditionnels de production du ablo, un pain humide cuit à la vapeur, au Bénin.

Dans la région ouest africaine, les céréales les plus consommées sont, par ordre d’importance, le maïs, le riz, le mil et le sorgho

Ablo, est une pâte fermentée et cuite obtenu à partir de la transformation artisanale du riz et/ou du maïs.

Ablo à base de maïs est reconnu comme le produit original, tandis que celui à base du riz relève d’une récente modification de la technologie originelle.

La préparation du Ablo exclusivement artisanale, est sujette à i) une forte variabilité au niveau de la qualité marchande ; ii) une courte durée de conservation ; iii) l’utilisation d’un équipement rudimentaire à faible rendement pouvant contribuer à la contamination chimique du produit ; iv) l’utilisation d’emballages inappropriés ; v) au manque de connaissances scientifiques sur les procédés de production et la qualité du ablo

Il existe trois procédés de production du ablo, variant suivant les principales matières premières utilisées, à savoir, le maïs, le riz ou un mélange de 2/3 de maïs pour 1/3 de riz.

Ablo peut être considéré comme un aliment hygiénique à cause de l’absence de germes pathogènes due à son acidité et à sa cuisson à la vapeur à une température de 95 °C environ. Toutefois, il peut être contaminé par la microflore ambiante au cours des manipulations post-cuisson.

Ablo est un aliment de rue qui est vendu sous forme d’aliment prêt à la consommation.

Ablo à base de riz est le plus apprécié par les consommateurs même s’il n’est pas produit à partir du riz local.

Citation :

Dossou, J., Osseyi, G., Ahokpe, F., Odjo, S., 2011. Evaluation des procédés traditionnels de production du ablo, un pain humide cuit à la vapeur, au Bénin. International Journal of Biological and Chemical Sciences 5.

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Evaluation de la durabilité de la production maraichère au sud du Bénin.

La production maraîchère est une branche importante de l’agriculture urbaine et périurbaine au Bénin, reconnue pour ses impacts sur l’environnement.

Des Indicateurs de Durabilité de la Production Maraîchère (IDPM) ont été mis au point par une équipe pluridisciplinaire en s’inspirant du modèle français Indicateurs de Durabilité des Exploitations Agricoles (IDEA)

L’IDPM comporte trois échelles de durabilité de même poids que sont les dimensions agroécologique, socioterritoriale et économique, 10 composantes et 40 indicateurs.

La majorité des exploitations enquêtées (65,48%) se caractérisent par une durabilité dont la valeur limitante est déterminée par la dimension agroécologique.

L’amélioration des composantes « Diversité écologique », « Organisation spatiale », des indicateurs « fertilisation », « protection des végétaux » et « gestion des emballages de produits chimiques » de la composante « Pratiques agricoles » sont les pistes d’amélioration de la durabilité de la production.

La durabilité socioterritoriale de la production est caractérisée par un manque de formation au niveau des producteurs, un défaut d’hygiène et de sécurité dans leur activité de production et une faible contribution à l’emploi.

La dimension économique est caractérisée par une faible viabilité et une faible transmissibilité économique, mais une indépendance financière et une bonne efficience du processus productif.

Les exploitations de grande taille (2500-5000 m²) utilisant les systèmes motorisés d’arrosage ont obtenu les scores de durabilité les plus élevés.

Une intégration des systèmes de pompage solaire de l’eau pour l’irrigation va accroître le niveau de durabilité de la production maraîchère.

Citation :

Ahouangninou, C., Martin, T., Assogba-Komlan, F., Cledjo, P., Kpenavoun Chogou, S., Nouatin, G., Boko, W., Soumanou, M.M., Houssou, C., Biaou, G., Ahanchede, A., Boko, M., Fayomi, B., 2015. Evaluation de la durabilité de la production maraichère au sud du Bénin. Cahiers du CBRST.

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Enquête ethnobotanique de trois espèces du genre Desmodium (Desmodium ramosissimum, Desmodium gangeticum et Desmodium adscendens) utilisées en médecine traditionnelle, Bénin.

En Afrique, les médicaments conventionnels ne sont pas accessibles à tous ; le coût élevé des traitements conduit 82% des patients à se tourner vers les remèdes traditionnels.

Au Bénin, sur les 3000 espèces de plantes répertoriées dans les écosystèmes forestiers en 2002, 172 sont consommées par les populations locales comme plantes alimentaires et 814 comme plantes médicinales.

Le genre Desmodium comprend plus de 46 espèces répertoriées comme plantes médicinales dans le monde.

Au Bénin, Desmodium ramosissimum, Desmodium gangeticum et Desmodium adscendens sont les espèces les plus vendues par les herboristes et sont impliquées dans le traitement de 19 catégories de maladies.

Desmodium ramosissimum est la plus citée (85% des enquêtés) montrant une fréquence d’utilisation élevée.

Les parties de la plante utilisées sont la tige avec les feuilles (98%) et les racines (2%).

Les recettes sont préparées principalement par décoction et administrées par voie orale.

Le prix des échantillons vendus varie de 200 à 1000 FCFA.

Les tisanes sont préparées avec une seule herbe ou une combinaison de plusieurs herbes.

Les informations sur les plantes sont transmises d’une génération à l’autre oralement par le bouche-à-oreille.

Aucune interdiction ou effet secondaire n’est lié à l’utilisation de ces plantes.

Les trois espèces de Desmodium occupent une place importante dans l’arsenal thérapeutique du Bénin.

Ces résultats constituent un outil essentiel pour l’évaluation expérimentale des potentialités de ces plantes afin de mettre à la disposition de la population béninoise, de nouveaux médicaments traditionnels améliorés.

Citation :

Farid, B., Rafiou, M., Marcellin, A., Durand, D.-N., Nabede, A., Sylvestre, A., Haziz, S., Adolphe, A., Aly, S., Lamine, B.-M., 2018. Ethnobotanical survey of three species of Desmodium genus (Desmodium ramosissimum, Desmodium gangeticum and Desmodium adscendens) used in traditional medicine, Benin. International Journal of Sciences 4, 26–33.

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Effet de la fumaison sur les qualités technologiques et sensorielles de Scomber scombrus (Maquereau Commun) et de Trachurus trachurus (Chinchard) à Wlacodji dans le Sud du Bénin.

Le poisson est l’une des sources de protéine la plus importante au Bénin.

Les pertes post captures du poisson sont de 20% au Bénin.

Plusieurs procédés de transformations et de conservation du poisson existent à savoir le fumage, la friture, la fermentation, le salage, le séchage, la réfrigération et la congélation.

Le fumage est le procédé le plus utilisé pour transformer et conserver les poissons après la capture.

Les poissons fumés sont très nutritifs et contiennent des acides gras insaturés, des vitamines liposolubles, des minéraux essentiels ainsi que des protéines contenant des acides aminés essentiels utiles pour l’homme.

Les chinchards et les maquereaux sont les espèces de poisson majoritairement fumés au Bénin.

Une mauvaise conservation à l’état frais et après le fumage peut dégrader les qualités organoleptiques et nutritionnelles des poissons fumés.

Le fumage de type artisanal, basé sur l’utilisation de bois de chauffe comme combustible, se fait en trois étapes : pré-fumage (à feu doux), fumage (à feu élevé) et le séchage (au feu à la fumé).

Le fumage entraine une perte de poids (jusqu’à 20%) et une modification de la texture de la chair qui devient plus ferme.

De manière générale, dû à l’effet des composés de la fumée, le fumage entraîne une modification de la couleur vers une couleur attractive et acceptée par le consommateur.

Le fumage et la cuisson ne modifient pas la qualité sensorielle (la tendreté, la jutosité et la flaveur) entre les poissons (maquereaux et chinchards) cuits et fumés.

Citation :

Assogba, M.H.M., Salifou, C.F.A., Ahounou, S.G., Silemehou, J.A.S., Dahouda, M., Chikou, A., Farougou, S., Kpodékon, M., Karim, I.Y.A., 2018. Effet de la fumaison sur les qualités technologiques et sensorielles de Scomber scombrus (Maquereau Commun) et de Trachurus trachurus (Chinchard) à Wlacodji dans le Sud du Bénin. International Journal of Progressive Sciences and Technologies 9, 34–45.

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Diversité des espèces végétales d’importance, négligées et sous-utilisées au Bénin.

Les Africains en général et les Béninois en particulier souffrent ou meurent de malnutrition au milieu d’une grande diversité de cultures alimentaires hautement nutritives, par ignorance ou par négligence.

Les raisons de cette négligence varient selon les producteurs et les techniciens agricoles.

Une étude menée dans 50 villages au Bénin a révélé 41 espèces végétales négligées et sous-utilisées (NUCS).

Les raisons de cette négligence varient selon les producteurs et les techniciens agricoles.

Les raisons importantes de cette négligence sont le manque de soutien financier pour la recherche orientée vers les cultures négligées, l’absence de politique nationale de promotion, le manque de marchés organisés, la sensibilité aux parasites et aux maladies, le manque de pratiques culturales et de variétés améliorées, le faible rendement et la production laborieuse.

19 des 41 espèces ont été identifiées comme prioritaires sur la base de 10 critères à savoir : ampleur de la production, ampleur de la consommation, degré de consommation, valeur nutritionnelle perçue, importance culturelle, propriétés médicinales, utilisation commerciale, valeur marchande, contribution au revenu du ménage et contribution à l’autonomisation des femmes.

Les NUCS ont une valeur nutritionnelle et médicinale intéressante et sont une source importante de revenus pour les ménages.

La promotion des NUCS va contribuer de manière substantielle à la réduction de la pauvreté et à la lutte contre la malnutrition au Bénin.

Pour la promotion de ces espèces végétales négligées et sous-utilisées au Bénin, il sera important de mettre en place un programme national et spécial de recherche et de développement.

Citation :

Dansi, A., Vodouhè, R., Azokpota, P., Yedomonhan, H., Assogba, P., Adjatin, A., Loko, Y.L., Dossou-Aminon, I., Akpagana, K., 2012. Diversity of the neglected and underutilized crop species of importance in Benin. TheScientificWorldJournal 2012.

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Les évidences pour mieux décider pour le développement local : Une analyse de l’état de la production et de l’utilisation des évidences pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Benin.

Presque toutes les municipalités sont conscientes de l’importance des évidences scientifiques dans la prise de décisions dans tous les secteurs de développement en particulier dans les secteurs de la santé et de l’alimentation et de la nutrition.

Les évidences utilisées par les collectivités locales incluent les statistiques, les croyances locales, les connaissances endogènes, les opinions citoyennes, et plus généralement les orientations politiques du gouvernement central.

Pour obtenir des évidences, les autorités locales se tournent vers les organisations de la société civile, les hôpitaux, l’Institut national de la statistique et de l’analyse économique et les partenaires techniques et financiers, et rarement vers la communauté des chercheurs, même si ceux-ci sont théoriquement connus comme étant la source traditionnelle des évidences.

Les facteurs qui limitent l’utilisation quotidienne des évidences par les collectivités locales sont entre autres : le déficit de ressources humaines qualifiées, le fossé entre les municipalités et la communauté des chercheurs, un accès difficile aux évidences (faible accès à l’internet, un manque d’équipement informatique, l’éparpillement et la qualité des évidences).

Pour promouvoir et améliorer l’utilisation des évidences dans le domaine de la SAN par les collectivités locales, il est recommandé de renforcer la culture et le système d’utilisation des évidences par l’institutionnalisation, le renforcement des capacités et la mise en relation des producteurs et utilisateurs des évidences.

Citation :

Gbedomon, R.C., Houessou, D.M., Thoto, F.S., 2021. Les évidences pour mieux décider pour le développement local : Une analyse de l’état de la production et de l’utilisation des évidences pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Benin.

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Evaluation des procédés traditionnels de production du ablo, un pain humide cuit à la vapeur, au Bénin.

Dans la région ouest africaine, les céréales les plus consommées sont, par ordre d’importance, le maïs, le riz, le mil et le sorgho

Ablo, est une pâte fermentée et cuite obtenu à partir de la transformation artisanale du riz et/ou du maïs.

Ablo à base de maïs est reconnu comme le produit original, tandis que celui à base du riz relève d’une récente modification de la technologie originelle.

La préparation du Ablo exclusivement artisanale, est sujette à i) une forte variabilité au niveau de la qualité marchande ; ii) une courte durée de conservation ; iii) l’utilisation d’un équipement rudimentaire à faible rendement pouvant contribuer à la contamination chimique du produit ; iv) l’utilisation d’emballages inappropriés ; v) au manque de connaissances scientifiques sur les procédés de production et la qualité du ablo

Il existe trois procédés de production du ablo, variant suivant les principales matières premières utilisées, à savoir, le maïs, le riz ou un mélange de 2/3 de maïs pour 1/3 de riz.

Ablo peut être considéré comme un aliment hygiénique à cause de l’absence de germes pathogènes due à son acidité et à sa cuisson à la vapeur à une température de 95 °C environ. Toutefois, il peut être contaminé par la microflore ambiante au cours des manipulations post-cuisson.

Ablo est un aliment de rue qui est vendu sous forme d’aliment prêt à la consommation.

Ablo à base de riz est le plus apprécié par les consommateurs même s’il n’est pas produit à partir du riz local.

Dossou, J., Osseyi, G., Ahokpe, F., Odjo, S., 2011. Evaluation des procédés traditionnels de production du ablo, un pain humide cuit à la vapeur, au Bénin. International Journal of Biological and Chemical Sciences 5.

 

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