Utilisation des résidus agricoles pour les biocarburants de transport durable en 2050 : cas de l’Afrique de l’Ouest

La biomasse est une ressource locale et potentiellement renouvelable qui devrait être gérée de manière durable au lieu de s’appuyer à moyen terme sur des combustibles fossiles importés tels que le GPL et l’essence.

Cet article analyse le potentiel des résidus agricoles à satisfaire demande d’énergie pour les biocarburants dans le cadre du changement climatique à long terme et variabilité en Afrique de l’Ouest et une perspective d’une politique énergétique bio économie.

Le but de ce travail était d’évaluer la faisabilité de produire de tels biocarburants en utilisant des résidus agricoles comme matière première.

Le potentiel de la biomasse de dix résidus agricoles a été estimée dans l’environnement R à l’aide des données de la FAO. Les options étaient analysées afin de générer des portefeuilles de carburants de transport basés sur des indicateurs énergétiques, la disponibilité de la biomasse et des scénarios de progrès technologique.

Les usines multi-matières premières produisant du bioéthanol, SNG et l’électricité sont capables de produire l’énergie nécessaire au transport biocarburants de treize pays d’Afrique de l’Ouest utilisant des résidus à partir de neuf cultures sélectionnées dans le scénario considéré.

L’allocation optimale a varié d’un pays à l’autre, montrant une compromis équitable entre les fonctions objectives.

Citation:

Gnansounou, E., Pachon, R.E., Sinsin, B., Teka, O., Togbé, E., Mahamane, A., 2020. Using agricultural residues for sustainable transportation biofuels in 2050 : Case of West Africa. Bioresour. Technol. 305, 123080.

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Impact de la participation à l’agriculture contractuelle sur le revenu et la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles du milieu rural au Bénin : paramètres combinés PSM et LATE

L’agriculture contractuelle a d’importantes conséquences négatives sur le niveau de production du riz. Plus les riziculteurs se joignent à l’agriculture contractuelle, plus le revenu agricole diminue.

L’agriculture contractuelle n’est pas un instrument politique raisonnable pouvant aider les agriculteurs à augmenter leurs revenus et améliorer leur niveau de sécurité alimentaire dans le département de l’Alibori au Bénin si ces derniers ne diversifient pas leurs récoltes.

Les ressources et l’environnement économique nécessaires ne sont pas encore mises en place pour permettre à l’agriculture de profiter pleinement de ses avantages potentiels.

Des mesures supplémentaires sont nécessaires pour que l’agriculture contractuelle soit rentable pour les contractants, assurer sa pérennité et la participation à grande échelle des agriculteurs.

Le manque d’accès à des semences de bonne qualité et la faible maîtrise des filières techniques de production et d’épandage d’engrais, ainsi que les perturbations climatiques peuvent expliquer la baisse de rendement.

Les agriculteurs sous contrat consacrent leur délai de production pour satisfaire le marché contractuel au point où ils ne produisent plus pour subsistance, mais ils produisent aussi des produits qui ne font pas partie des habitudes alimentaires de la région

Mettre l’accent sur l’amélioration de la productivité agricole des terres existantes en termes de contrat en raison des contraintes foncières extrêmes auxquelles sont confrontés les petits exploitants et la portée (politique) restreinte de la réforme de l’agriculture au Bénin.

Assurer l’accès à des semences de bonne qualité et sécuriser la production de semences certifiées.

Assurer une formation opérationnelle sur les filières techniques de production et d’épandage d’engrais en termes de contrat.

Améliorer le rendement et la résistance à la sécheresse des variétés de riz en investissant davantage dans recherche.

Examiner par la recherche comment l’agriculture contractuelle peut atténuer la pauvreté et comment aider les agriculteurs et les acheteurs à réaliser un contrat agricole gagnant-gagnant sans conflit.

Citation:

Olounlade, O.A., Li, G., Kokoye, S.E.H., Dossouhoui, F.V., Akpa, K.A.A., Anshiso, D., Biaou, G., 2020. Impact of Participation in Contract Farming on Smallholder Farmers ’ Income and Food Security in Rural Benin : PSM and LATE Parameter Combined. Sustainability 12, 1–19.

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Diversité génétique et structure de la population dans la collection de variétés locales de pois cajan du Bénin [Cajanus cajan (L.) Huth] révélée par les marqueurs SSR et SNP à l’échelle du génome

Le pois cajan [Cajanus cajan (L.) Huth], précieuse culture polyvalente utilisée localement dans les ménages pour la sécurité alimentaire ainsi qu’en médecine traditionnelle au Bénin.

Potentiel agronomique du pois cajan indéterminé non seulement à cause de la négligence dans sa culture mais aussi du manque d’évaluation de ses ressources génétiques.

Deux types de marqueurs (SNP et SSR) sont informatifs dans l’analyse du polymorphisme révélant toute la variabilité génétique du pois cajan.

L’inférence de la structure génétique subdivise l’ensemble de la collection en trois grands groupes indépendants en fonction du type de marqueur

Le pouvoir de résolution dans l’analyse de la structure de la population est plus élevée pour le marqueur SNP que pour le SSR.

Structure de la population plus claire avec le marqueur SNP qu’avec SSR.

Etude permettant d’avoir un aperçu clair sur la diversité génétique du pois cajan au Bénin et représente le premier rapport comparant la performance des marqueurs SSR et SNP pour l‘analyse génétique des populations de pois cajan.

Résultats offrant globalement une bonne opportunité non seulement d’améliorer des traits d’intérêt, mais aussi pour définir les stratégies de conservation et de sauvegarde des variétés locales de pois cajan en culture au Bénin.

Citation:

Zavinon, F., Jens, H.A., Lehnert, H., Ordon, F., Perovic, D., 2020. Genetic diversity and population structure in Beninese pigeon pea [ Cajanus cajan ( L .) Huth ] landraces collection revealed by SSR and genome wide SNP markers. Genet. Resour. Crop Evol. 67, 191–208.

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Sécurité alimentaire et sélection défavorable sur les marchés ruraux du maïs

Application par les vendeurs, des insecticides pour le stockage du maïs à vendre contrairement à ce qu’ils vont consommer. Ce qui pose le problème de sécurité alimentaire au Bénin.

Les ménages, conscients de la contamination potentielle par les insecticides chimiques, sont plus susceptibles d’appliquer des insecticides sur le maïs destiné à la vente que sur le maïs de consommation domestique contrairement aux ménages qui ne sont pas au courant ou ne se soucient pas de la contamination par les pesticides. Il est en effet rationnel pour un ménage de vendre plus de maïs pulvérisé avec des produits chimiques insecticides sur le marché pour préserver la quantité et la qualité, sachant que le grain paraîtra bien aux acheteurs, et que les acheteurs seront incapables de détecter pleinement si des produits chimiques des résidus sont présents.

La sélection adverse du maïs sur les marchés informels peut être motivée en partie par les croyances subjectives sur le risque de contamination des aliments. La sélection négative entrave la participation au marché et peut entraîner de graves risques pour la santé des consommateurs.  Offre limitée de produits post-récolte améliorés et des conteneurs de stockage améliorés par rapport à la production des intrants (engrais inorganiques et semences améliorées).  L’augmentation de la production alimentaire ayant une valeur limitée, les décideurs, les donateurs et les praticiens du développement doivent mettre l’accent et les ressources sur l’amélioration de la qualité des aliments plutôt que simplement sur l’augmentation en quantité des aliments.

Citation:

Kadjo, D., Ricker-gilbert, J., Shively, G., Abdoulaye, T., 2020. Food Safety and Adverse Selection in Rural Maize Markets. J. Agric. Econ. 71, 412–438.

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Potentiel du zooplancton produit à partir des crottes de lapin, fientes de poulet et déjections du porc pour l’alimentation des larves de Clarias gariepinus (Burchell, 1822)

Au Bénin, la difficulté d’approvisionnement continue en ressources halieutiques avec une exploitation irrationnelle entraine une diminution considérable des produits halieutiques dont Clarias gariepinus, Heterobranchus longifilis, Heterotis niloticus, etc.

Pour réduire la pression sur les ressources halieutiques et minimiser le coût de production des poissons, il faut produire du zooplancton (proies vivantes) à partir des déjections animales (crottes de lapin, les fientes de poulet et les déjections de porc) pour nourrir les larves de Clarias gariepinus.

On a obtenu un bloom de zooplancton avec les fientes de poulet avec une forte densité 15 jours après la fertilisation des milieux de culture.

Le zooplancton produit à partir des déjections animales a servi à nourrir des larves pendant 8 jours avant l’aliment sec avec une fréquence de nourrissage de 4 fois par jour.

De bonnes performances de croissance larvaire ont été obtenues avec les proies vivantes (zooplancton) produites à partir des déjections animales.

On a observé un cannibalisme élevé avec les larves nourries aux proies vivantes issues de déjections de porcs.

Les proies vivantes (zooplancton) produites à partir des déjections animales, notamment les fientes de poulet, pour nourrir les larves de Clarias gariepinus permettent d’obtenir une bonne croissance sans affecter leur survie.

La fiente de poulet apparaît comme le meilleur fertilisant organique à cause de sa solubilité plus rapide et de sa plus forte richesse en phosphore

Citation :

Djissou, A.S.M., Codjia, J., Kpanou, B., Tossavi, C.E., Fiogbé, E.D., 2020. Potentiel du zooplancton produit à partir des crottes de lapin, fientes de poulet et déjections du porc pour l’alimentation des larves de Clarias gariepinus (Burchell, 1822). In: Symposium International Sur La Science et La Technologie 14 Au 18 Octobre 2019, Ouagadougou. Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique, Ouagadougou, pp. 91–98.

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Composition nutritionnelle et teneur en métaux lourds de trois légumes à feuilles (Amaranthus Cruentus L., Lactuca Sativa L., Solanum Macrocarpon L.) à Porto-Novo, République du Bénin

Les légumes et les fruits sont des sources de nutriments qui aident à guérir certains troubles du métabolisme en contribuant à lutter contre l’insécurité alimentaire et la malnutrition.

L’intérêt des légumes-feuilles s’est accru ces dernières années, principalement en raison des bienfaits pour la santé dus à leurs composés nutritionnels.

La connaissance des nutriments des légumes (d’Amaranthus cruentus L., Solanum macrocarpon L. et Lactuca sativa L.) est nécessaire pour mieux les valoriser dans l’alimentation de la population.

Lactuca sativa L. a la teneur en eau la plus élevée, Amaranthus cruentus L. a la teneur la plus élevée en protéines, cendres, fibres, zinc, calcium et potassium tandis que le Solanum macrocarpon L. a la teneur la plus élevée en graisse et en fer. Solanum macrocarpon L. a la teneur en plomb la plus élevée tandis qu’Amaranthus cruentus L. a la teneur en cadmium la plus élevée.

Les légumes-feuilles pourraient fournir une part importante des besoins nutritionnels pour une protection adéquate contre les maladies.

Amaranthus cruentus L. a la teneur élevée en nutriments suivi de Solanum macrocarpon L. et Lactuca sativa L.

Le cadmium et le plomb trouvés dans les légumes de cette étude à Porto-Novo doivent être surveillés et gérés pour éviter des conséquences néfastes sur la santé de l’homme

Contenant une bonne source de minéraux vitaux comme le calcium, le magnésium, le fer, le zinc, le potassium et une faible teneur en métaux lourds (cadmium, plomb), la culture de ces trois légumes et leur consommation sont à encourager.

Citation:

Houngla, J.E.H., Gbankoto, A., Mizehoun-adissoda, C., Anani, L.B.C., Edorh, P.A., Moutaïrou, K., Sohounhloué, D.C.K., 2020. Nutrient Composition and Heavy Metals Content of Three Leafy Vegetables (Amaranthus Cruentus L ., Lactuca Sativa L ., Solanum Macrocarpon L .) in Porto-Novo , Republic of Benin. J. Food Nutr. Res. 8, 80–86.

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Différences dans les propriétés physicochimiques du riz commercial provenant des marchés urbains en Afrique de l’Ouest

Les échantillons du riz sont collectés dans 421 zones urbaines de trois pays d’Afrique de l’Ouest (Bénin, Cameroun et Ghana) par le biais du groupe de travail AfricaRice.

Évaluation de diverses caractéristiques de qualité du grain de 316 échantillons de riz commercial usiné provenant des marchés urbains des trois pays.

L’analyse MANOVA et les analyses discriminantes démontrent que le riz local et le riz importé de divers pays ont des qualités de grain composites distinctes.

Le Bénin a le plus grand nombre d’échantillons, suivi du Ghana, puis du Cameroun et la plupart de riz des marchés urbains sont importés de Thaïlande (60 %).

Les autres sources de riz importé sont l’Inde (14%), le Vietnam (13%), le Pakistan (7%) et les États-Unis (4%).

La disponibilité du riz local collecté au Bénin est fonction du lourd investissement dans ce secteur rizicole, qui a permis au pays de produire, traiter et commercialiser (riz local blanc non étuvé) à une échelle comparativement plus grande que les autres pays.

Manque du disponible du riz local sur le marché populaire en WA. Aussi, la récupération de la tête et l’aspect physique du riz usiné sont des composantes importantes des critères d’achat des consommateurs.

Les caractéristiques de cuisson et de consommation du riz sont largement déterminées par les propriétés de l’amidon.

L’augmentation de la consommation de riz local nécessite de s’aligner sur les attributs de qualité du grain des références importées en plus de l’augmentation de la productivité des cultivars de riz locaux.

Citation :

Graham-Acquaah, S., Mauromoustakos, A., Cuevas, R. P., Manful, J. T., 2017. Differences in physicochemical properties of commercial rice from urban markets in West Africa. J. Food Sci. Technol. 57(4), 1505–1516.

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Changement climatique et adoption de pratiques de gestion durable des terres dans le bassin du Niger au Bénin

Deux départements l’Ouémé et du Plateau sont concernés dans cette étude. Les données de performances zootechniques ont été collectées dans 63 porcheries (39 en élevage amélioré et 24 en élevage local). Ces données ont été enregistrées sur deux types génétiques (porcs locaux et porcs améliorés).

La détection des œstrus est principalement basée sur l’observation des signes de modifications vulvaires et du comportement de la truie et ceci à tout moment, sans le verrat.

L’accouplement des truies locales s’effectuent dès la détection des œstrus. Cependant,  les truies améliorées sont accouplées 36 heures après la détection.

La détection de la gestation s’effectuée par le contrôle du retour de l’œstrus, 21 jours après l’accouplement par la majorité (80,6%) des répondants.

La taille de la portée, le nombre de porcelets nés vivants et les porcelets sevrés des truies améliorées sont plus élevés que ceux des truies locales.

L’intervalle entre les mises bas est plus long chez les truies locales que chez les truies améliorées.

Le sexe n’influence pas les poids à l’âge standard dans chaque type génétique étudié.

L’augmentation de la taille de la portée, le nombre de porcelets nés vivants et le nombre de porcelets sevrés est synonyme du nombre de parité jusqu’à la quatrième parité.

Quel que soit le type génétique, le diagnostic de gestation est pratiqué 21 jours après l’accouplement par le contrôle du retour de l’œstrus.

Nécessité de connaître les performances des porcs afin de mener des actions propices pour leur amélioration.

Citation :  Dotché, I. O., Bankolé, C. B. O., Dahouda, M., Biobou, R., Bonou, G. A., Antoine-Moussiaux, N., Dehoux, J-P., Thilmant, P., Mensah, G. A., Koutinhouin, B. G., Karim, I. Y. A., 2020. Comparison of reproductive performances of local and improved pigs reared in south Benin. Tropical Animal Health and Production. 52, 687–698.

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Caractérisation agro-morphologique des accessions de riz africain (Oryza glaberrima) en conditions de culture pluviale et irriguée

Le riz africain est utilisé pour sa résistance aux maladies et aux stress, afin d’améliorer les espèces asiatiques. Malheureusement, sa culture est largement négligée au profit des variétés asiatiques, ce qui menace d’extinction de nombreuses variétés de riz africain.

Cette étude a été réalisée sur les sites du Centre du Riz pour l’Afrique en République du Bénin et au Sénégal. Pour cela 235 accessions de riz africain y compris deux témoins (CG14, NERICA4) ont été observées en culture pluviale (Bénin) et irriguée (Sénégal).

Les résultats ont révélé un très faible impact des facteurs environnementaux, montrant ainsi que la variation du site ne semble pas affecter la productivité.

Parmi les accessions testées, 22 ont été signalées comme des accessions O. sativa tandis que les 213 accessions restantes ont été identifiées phénotypiquement comme O. glaberrima.

La caractérisation des 213 accessions de O. glaberrima, a conduit à l’identification de deux groupes. Le groupe 1 avec 114 accessions est caractérisé par la précocité de leur cycle : il peut être utilisé comme un trait important pour la sélection des variétés. Le groupe 2 avec 99 accessions dont CG14 et NERICA4 est caractérisé par le fort rendement de production.

Ces résultats permettent de disposer d’une collection d’accessions de O. glaberrima afin d’étudier non seulement sa diversité génétique mais aussi d’évaluer davantage le potentiel de ces variétés pour exploiter leur avantage génétique et nutritionnel pour le développement de nouvelles variétés.

Gnacadja, C., Fagla Amoussou, B., Sall, S., Manneh, B., Toulou, B., Ametonou, F., Moreira, J., Azokpota, P., Sie, M., 2020. Agro-morphological characterization of african rice accessions (Oryza glaberrima) in rainfed and irrigated cultural conditions. Journal of Experimental Biology and Agricultural Sciences 8.

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Projet de compétitivité agricole et de diversification des exportations : Document pour l’évaluation du projet

L’objectif de développement du projet est d’accroître la productivité et l’accès au marché pour certaines chaînes de valeur agroalimentaires au Bénin.

Financé par un crédit de US$ 160 millions sur six ans (2020-2026), le projet est sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture, avec cinq composantes et sept sous-composantes :

  • Renforcement de l’environnement favorable et des infrastructures pour le développement des chaînes de valeur agroalimentaires (US$ 35 M) ;
  • Amélioration des institutions publiques pertinentes et du cadre politique pour la promotion des exportations
  • Développement des infrastructures essentielles et des systèmes d’information sur les marchés
  • Accroître la productivité, la connectivité, la valeur ajoutée et la résilience (US$ 65 M) ;
  • Améliorer la disponibilité et l’accès aux intrants de qualité
  • Améliorer l’accès des agriculteurs aux connaissances pour une agriculture intelligente face au climat, l’amélioration de la qualité et la valeur ajoutée
  • Réhabilitation des routes rurales
  • Promouvoir les investissements privés et l’accès au financement ;
  • Soutien aux investissements
  • Mécanismes de partage des risques
  • Gestion du projet (US$ 15 M) ;
  • Composante contingente d’intervention d’urgence pour un accès rapide à des fonds en cas de crise éligible.

L’accent initial sera mis sur la noix de cajou et l’ananas ayant un potentiel d’exportation connu, et s’étendra progressivement à d’autres cultures horticoles et alimentaires.

Les bénéficiaires directs sont les agriculteurs, les entreprises agroalimentaires, les transformateurs, les commerçants, les transporteurs et les divers prestataires de services avec un accent particulier pour les jeunes et les femmes (environ 150 000 personnes).

The World Bank, 2020. Agricultural competitiveness and export diversification project: Project Appraisal Document. Cotonou, Bénin.

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