Potentiel du zooplancton produit à partir des crottes de lapin, fientes de poulet et déjections du porc pour l’alimentation des larves de Clarias gariepinus (Burchell, 1822)

Au Bénin, la difficulté d’approvisionnement continue en ressources halieutiques avec une exploitation irrationnelle entraine une diminution considérable des produits halieutiques dont Clarias gariepinus, Heterobranchus longifilis, Heterotis niloticus, etc.

Pour réduire la pression sur les ressources halieutiques et minimiser le coût de production des poissons, il faut produire du zooplancton (proies vivantes) à partir des déjections animales (crottes de lapin, les fientes de poulet et les déjections de porc) pour nourrir les larves de Clarias gariepinus.

On a obtenu un bloom de zooplancton avec les fientes de poulet avec une forte densité 15 jours après la fertilisation des milieux de culture.

Le zooplancton produit à partir des déjections animales a servi à nourrir des larves pendant 8 jours avant l’aliment sec avec une fréquence de nourrissage de 4 fois par jour.

De bonnes performances de croissance larvaire ont été obtenues avec les proies vivantes (zooplancton) produites à partir des déjections animales.

On a observé un cannibalisme élevé avec les larves nourries aux proies vivantes issues de déjections de porcs.

Les proies vivantes (zooplancton) produites à partir des déjections animales, notamment les fientes de poulet, pour nourrir les larves de Clarias gariepinus permettent d’obtenir une bonne croissance sans affecter leur survie.

La fiente de poulet apparaît comme le meilleur fertilisant organique à cause de sa solubilité plus rapide et de sa plus forte richesse en phosphore

Djissou, A.S.M., Codjia, J., Kpanou, B., Tossavi, C.E., Fiogbé, E.D., 2020. Potentiel du zooplancton produit à partir des crottes de lapin, fientes de poulet et déjections du porc pour l’alimentation des larves de Clarias gariepinus (Burchell, 1822). In: Symposium International Sur La Science et La Technologie 14 Au 18 Octobre 2019, Ouagadougou. Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique, Ouagadougou, pp. 91–98.

 

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Phytodiversité des légumes-feuilles locales consommées par les peuples Holli et Nagot de la région de Pobè au sud-est du Bénin

Les produits forestiers non ligneux (PFNL) sont importants pour la subsistance des habitants des forêts et contribuent fortement à la sécurité alimentaire notamment dans des pays en développement.

L’état des lieux sur la diversité des espèces de légumes feuilles locales consommées a été fait avec les populations Holli et Nagot de cette région.

35 espèces végétales ont été identifiées dans les différents faciès végétaux des deux villages.

Il y a une distribution des espèces dans seize (16) familles dominées par les Asteraceae (10 espèces), les Amarantaceae (6 espèces) et les Solanaceae (3 espèces) (64% de la diversité totale).

On note un spectre alimentaire et une préférence plus large chez les Holli que les Nagot.

Il y a une diversité non négligeable de la région de Pobè au sud-est de Bénin en ce qui concerne les espèces de légumes alimentaires locales.

On a observé une introduction et une adoption de plusieurs espèces exotiques bien que les espèces sauvages tiennent toujours une place de choix dans les habitudes alimentaires des populations locales.

La dégradation sévère du couvert végétal et l’urbanisation galopante du milieu constituent un facteur d’érosion des connaissances endogènes.

Il est urgent de mener de travaux scientifiques sur les possibilités de culture et de rentabilité économique de ces légumes par les populations locales afin de freiner la pression sur les ressources naturelles.

Codjia, J.T.C., Vihotogbe, R., Lougbegnon, T., 2009. Phytodiversité des légumes-feuilles locales consommées par les peuples Holli et Nagot de la région de Pobè au sud-est du Bénin. Int. J. Biol. Chem. Sci. 3, 1265–1273.

 

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Perception des consommateurs sur la qualité nutritionnelle et sanitaire de quelques légumes feuilles locaux produits dans la zone côtière du Sud-Bénin

La consommation des légumes feuilles locaux est une pratique ancrée dans les habitudes alimentaires des Béninois en général et des populations du Sud-Bénin en particulier.

Solanum macrocarpum L, Vernonia amygdalina Del et Amaranthus hybridus L étaient respectivement les trois principaux légumes feuilles locaux consommés au Sud-Bénin.

La valeur nutritive et la disponibilité étaient les critères de choix des légumes feuilles locaux consommés.

La perception des consommateurs sur les conditions de production et de commercialisation des légumes feuilles locaux était globalement positive.

L’état physiologique, l’absence de chenilles sur les feuilles, la couleur, le taux d’humidité et l’état hygiénique étaient les critères d’évaluation de la valeur nutritive des légumes feuilles locaux par les consommateurs.

Concernant ces critères, les attentes des consommateurs étaient globalement satisfaites. Selon les consommateurs ciblés,

La consommation des légumes feuilles locaux apporte généralement à l’organisme des sels minéraux, des vitamines A, B, D et E.

Des légumes feuilles locaux ont des vertus thérapeutiques comme les propriétés antibiotiques, de facilitation de la digestion et d’aliments énergétiques.

Des légumes feuilles locaux sont utilisés pour guérir l’ulcère gastrique, l’anémie, les maux de ventre et le diabète.

Nécessité d’opérer un réajustement au niveau des engrais chimiques et organiques mais aussi au niveau des pesticides chimiques et de l’eau d’irrigation.

Il faut maintenir l’hygiène lors du tri, du rinçage et du transport des légumes feuilles locaux puis l’assainissement des lieux de vente et d’exposition des légumes feuilles locaux (à l’ombre) afin de s’assurer de leur qualité sanitaire et nutritive.

Vodouhe, S.E., Tossou, R.C., Soumanou, M.M., 2012. Perception des consommateurs sur la qualité nutritionnelle et sanitaire de quelques légumes feuilles locaux produits dans la zone côtière du Sud-Bénin. Bull. la Rech. Agron. du Bénin 13–23.

 

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Pêche, Pisciculture et Aquaculture au Bénin Un quick scan du secteur pour des possibilités d’interventions

La pêche et l’aquaculture contribuent à la sécurité alimentaire de façon directe et indirecte par la provision d’un aliment de très haute qualité nutritionnelle, l’auto-emploi, la génération de revenus.

Au Bénin, la pêche a été une source majeure de revenus pour les communautés vulnérables de pêcheurs à travers les générations et une source de protéines animales, parfois la seule accessible à des couches de populations pauvres vivant près de plans d’eau et des communautés isolées en milieu rural.

Avec une population totale avoisinant 10 millions de personnes au début 2014, la demande en poisson va augmenter considérablement et le déficit risque de se creuser davantage dans l’avenir si des mesures adéquates d’augmentation de la production aquacole ne sont prises à temps, avec des approches plus innovantes, des politiques rigoureuses et des partenariats plus concertés.

Le déficit en produits halieutiques à combler en 2025 demeure élevé (34 040 à 111 218 voire 152 563 tonnes) mais une grande partie devrait provenir de l’aquaculture plutôt que de la pêche et des importations. 

Le poisson frais mais la plupart du temps transformé est parfois la seule source abordable financièrement pour les ménages pauvres dans les milieux urbains et péri-urbains.

Le poisson est considéré comme « un aliment riche pour les gens pauvres » et a une faible contribution en apport protéique (28,5%) par rapport aux autres sources protéiques animales.

Rurangwa, E., van den Berg, J., Laleye, P.A., van Duijn, A.P., Rothuis, A., 2014. Pêche, Pisciculture et Aquaculture au Bénin Un quick scan du secteur pour des possibilités d’interventions.

 

 

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Valeur nutritionnelle et composition physico-chimique du mil (Pennisetum glaucum) produit au Bénin

Les prix élevés des aliments d’origine animale et les revenus limités gagnés dans les pays en développement ont entraîné leur dépendance à l’égard des préparations à base de céréales comme aliment de base.

Les céréales telles que le maïs, le sorgho ou le mil sont souvent utilisées dans la production de divers aliments et boissons traditionnels dans de nombreux pays africains, dont le Bénin.

Les concentrations de nutriments majeurs et mineurs comme les glucides, les protéines, les sucres ainsi que les minéraux variaient considérablement.

Certains cultivars de mil étant particulièrement enrichis en fer et en magnésium avec une grande corrélation entre l’amidon et l’amylose.

Quatre groupes de mil chandelle ont été distingués : les mils riches en fer (groupe G1), les mils riches en glucides (groupe G2) et deux mils moins nutritifs (groupes G3 et G4).

Aucune variété « tout-en-un » capable de fournir tous les avantages potentiels pour la santé attribués au mil mais les variations des niveaux de ces nutriments dépendaient à la fois de la variété de mil et du site de production.

Le mil pourrait être recommandé pour prévenir la malnutrition ou les carences alimentaires dans les populations utilisant le mil comme aliment de base, en particulier les enfants et les communautés agricoles rurales.

Nouvelles voies pour l’enrichissement du mil et opportunité de sensibiliser les agriculteurs à la sélection de variétés de mil chandelles pour réduire la malnutrition.

Adéoti, K., Kouhoundé, S.H.S., Noumavo, P.A., Baba-moussa, F., Toukourou, F., 2017. Nutritional value and physicochemical composition of pearl millet (Pennisetum glaucum ) produced in benin. J. Microbiol. Biotechnol. Food Sci. 7, 92–96.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Nutritional value and physicochemical composition of pearl millet (Pennisetum glaucum) produced in benin »

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Amélioration de la production piscicole au Bénin : Quelle souche de Tilapia Oreochromis niloticus est recommandée aux pisciculteurs ?

La pisciculture béninoise exploite principalement deux espèces, y compris le tilapia Oreochromis niloticus.

Oreochromis niloticus, largement utilisé en aquaculture au Bénin, est confronté à un effondrement de l’aptitude génétique à mieux croître. Ce qui a nécessité la sélection et des améliorations génétiques pour l’obtention de bonnes performances de production.

Les controverses sur les performances de la souche de tilapia Oreochromis niloticus ont permis de comparer les performances des souches de l’INRAB (S2 INRAB, SI) aux souches de Faizou (SF) par évaluation de la croissance.

Le gain de poids obtenu a été significativement plus élevée pour la souche SF que la SI malgré qu’elle ait enregistré plus mortalité que la souche SI.

La souche SF est celle qui a le plus de croissance. Cette souche avait un gain quotidien moyen presque linéaire et un gain de poids plus élevé que la souche SI. Néanmoins, les deux souches ont montré une croissance raisonnablement acceptable en culture de tilapia.

Il conviendrait de considérer les deux souches (SI et SF) dans les futurs programmes et projets de sélection et d’amélioration génétique, notamment pour essayer de combiner la capacité de croissance de la souche SF avec la capacité de résistance de la souche SI pour avoir exprimé un taux de survie de 100%.

Gangbé, L., Achoh, M.E., Aboudou, A.Z., Hounhoedo, A., Agbohozo, B., Aizonou, R., Agadjihouèdé, H., 2019. Improvement of fish production in Benin: Which strain of Tilapia Oreochromis niloticus is recommended to fish farmers? Int.J.Aquat.Biot 7, 100–105.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Improvement of fish production in Benin: Which strain of Tilapia Oreochromis niloticus is recommended to fish farmers? »

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Nouveaux indicateurs de vulnérabilité et de résilience des systèmes agroforestiers au changement climatique en Afrique de l’Ouest

Le changement climatique menace les écosystèmes, y compris les parcs agroforestiers traditionnels.

Évaluer le niveau de vulnérabilité et la résilience de tout écosystème au changement climatique est importante pour la conception de stratégies et de mesures d’adaptation durables.

Le nombre de composants endommagés dans le système était le principal indicateur de la vulnérabilité des parcs Anacardium occidentale et Citrus sinensis aux effets du changement climatique.

L’âge et la densité des parcs Vitellaria paradoxa et des parcs mixtes (Vitellaria paradoxa–Parkia biglobosa) sont des facteurs déterminants de la vulnérabilité de ces systèmes agroforestiers aux effets du changement climatique.

Des indicateurs endogènes spécifiques de la vulnérabilité de l’agroforesterie au changement climatique sont importants pour identifier de meilleures stratégies d’adaptation.

Les systèmes d’agroforesterie basés sur Elaeis guineensis, Anacardium occidentale, et Citrus sinensis pour la région de Dassa-Zoumè et Zagnanado et les parcs de Vitellaria paradoxa, Anacardium occidentale, et parcs mixtes Vitellaria paradoxa–Parkia biglobosa pour les quartiers de Tchaourou au Bénin sont à encourager.

La culture de Manihot esculenta à travers les systèmes agroforestiers sera très utile pour réussir adaptations.

Il est utile d’évaluer la viabilité des principales espèces d’arbres agroforestiers et la résilience des espèces sauvages aux conditions climatiques grâce à la démographie et des études génétiques.

Nécessité d’examiner l’effet de la densité des arbres agroforestiers sur l’utilisation des nutriments et de la lumière par les arbres et les cultures à travers des conditions écologiques pour concevoir des stratégies d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest.

Gnonlonfoun, I., Assogbadjo, A.E., Gnanglè, C.P., Kakaï Glèlè, R.L., 2019. New indicators of vulnerability and resilience of agroforestry systems to climate change in West Africa. Agron. Sustain. Dev. 39, 12–23.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « New indicators of vulnerability and resilience of agroforestry systems to climate change in West Africa »

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Apparition naturelle de Fusarium et contamination subséquente par les fumonisines dans le maïs pré-récolte et stocké au Bénin, en Afrique de l’Ouest

L’occurrence naturelle de la contamination par Fusarium et fumonisine a été évaluée dans et le maïs stocké produit par de petits agriculteurs dans quatre zones agroécologiques du Bénin.

Les analyses mycologiques ont révélé une prédominance à la fois de Fusarium et d’Aspergillus dans les échantillons de maïs par rapport aux autres genres.

Les deux espèces de Fusarium les plus communément isolés du maïs étaient Fusarium verticillioides (68 %) et Fusarium proliferatum (31 %).

Des isolats atypiques de F. verticillioides avec quelques caractéristiques de Fusarium andiyazi ont également été trouvés uniquement sur du maïs avant la récolte.

L’étude des souches de F.  verticillioides ont montré la présence de producteurs de fumonisines extrêmement élevés au Bénin avec des niveaux de fumonisines totales allant de 8240 à 16690 mg/kg.

Les niveaux de Fumonisine dans le maïs se sont avérés significativement plus élevés dans les deux zones du sud au cours de toutes les enquêtes.

La présence au Bénin des souches de F. verticillioides, qui sont riches en producteurs de fumonisines, appelle à plus d’attention et suggère que les agriculteurs devraient adopter un système de gestion des procédures post-récolte adéquates afin d’assurer une bonne qualité du maïs stocké.

Il faut une sensibilisation accrue des agriculteurs et des consommateurs du Bénin mais aussi de l’Afrique de l’Ouest sur le danger de contamination par les fumonisines dans le maïs.

Un séchage adéquat avant et pendant le stockage devrait être l’une des mesures importantes à recommander aux agriculteurs pour réduire la contamination avec le Fusarium et la fumonisine.

Fandohan, P., Gnonlonfin, B., Hell, K., Marasas, W.F.O., Wingfield, M.J., 2005. Natural occurrence of Fusarium and subsequent fumonisin contamination in preharvest and stored maize in Benin , West Africa. Int. J. Food Microbiol. 99, 173–183.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Natural occurrence of Fusarium and subsequent fumonisin contamination in preharvest and stored maize in Benin, West Africa»

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Contamination microbienne des légumes-feuilles à Porto-Novo, République du Bénin

Les légumes et les fruits sont des composants importants de l’alimentation saine humaine et fournir des fibres, des minéraux et des vitamines qui aident à prévenir certains troubles et la malnutrition.

Néanmoins, les légumes contaminés peuvent causer des problèmes de santé en raison de leur charge microbienne.

Au total, le nombre de bactéries mésophiles aérobies dans les légumes à feuilles variait de 4,42 × 105 à 1,08 × 106 Unité Formant Colonie (UFC)/g.

Le total le plus élevé et le plus bas des charges de coliformes ont été trouvées dans les laitues (3,21 × 103 UFC/g) et les morelles (1,78 × 102 UFC/g).

La charge de streptocoques fécaux variait de 1,01×103 à 3,18×103 UFC/g et était plus élevé chez les amarantes que chez les laitues et solanacées.

C. perfringens variait de 0,633 × 101 à 1,18 × 101 CFU/g mais Salmonella spp. était absent de tous les légumes.

Il est nécessaire d’améliorer la qualité microbienne de légumes-feuilles cultivés à Porto-Novo pour la réduction des risques pour la santé des consommateurs.

Besoin de recherches approfondies sur la qualité microbienne des feuilles légumes, des pratiques agricoles appropriées, ainsi que l’éducation/la formation des jardiniers urbains

Houngla, E.J.H., Gbankoto, A., Hinson, C.D.T., 2019. Microbial Contamination of Leafy Vegetables in Porto-Novo , Republic of Benin. J. Food Qual. Hazards Control 6, 168–173.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Microbial Contamination of Leafy Vegetables in Porto-Novo, Republic of Benin»

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Contamination microbienne associée à la transformation du porc grillé, un aliment de rue prêt-à-manger au Bénin

Le porc occupe une place importante dans l’alimentation humaine et est la viande la plus consommée dans le monde.

La charge de bactéries aérobies mésophiles dans tous les échantillons variait entre 2,7 et 7,4 Log10 UFC g−1, avec 16,7% des échantillons dépassant la limite acceptable de <7,0 Log10 CFU g−1 recommandée par l’Agence de protection de la santé pour ce critère.

La charge des entérobactéries, Escherichia coli et Clostridium perfringens dépassaient la limite acceptable dans 20,8 ; 20,8 et 12,5 % des échantillons, respectivement. Aucun des échantillons ne contenait de Salmonella spp., Staphylococcus aureus ou Listeria monocytogenes.

L’identification et le regroupement des sources de contamination du porc grillé ont été classés en cinq types de causes liées aux transformateurs, aux méthodes de traitement, à l’équipement utilisé, les matières premières et l’environnement de traitement/vente.

Besoin de mise en œuvre des étapes de mesures d’hygiène supplémentaires lors de l’identification des risques des pratiques de transformation du porc grillé.

On note une recontamination du porc grillé lors de la manipulation post-traitement et de la croissance microbienne pendant le stockage.

Il faut améliorer la qualité microbiologique de la viande de porc grillée par la formation à l’hygiène alimentaire et de bonnes pratiques de manutention aux transformateurs/vendeurs.

Anihouvi, D.G.H., Kpoclou, Y.E., Assogba, M.F., Afé, O.H.I., Scippo, M., Lègba, G., Hounhouigan, D.J., Anihouvi, V.B., Mahillon, J., 2020. Microbial contamination associated with the processing of grilled pork , a ready-to-eat street food in Benin. J. Food Saf. 1–8.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Microbial contamination associated with the processing of grilled pork, a ready-to-eat street food in Benin »

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