Inefficacité du désherbage manuel dans les rizières pluviales affectées par les parasites adventices

Le désherbage manuel, pratique prédominante de contrôle des mauvaises herbes, est une activité la plus consommatrice de main-d’œuvre dans les petits systèmes rizicoles pluviaux en Afrique saharienne (Bénin et Côte d’Ivoire).

L’inefficacité technique du travail de désherbage est élevée dans les deux pays (58% en Côte d’Ivoire et 69% au Bénin) avec pour implication, une éventuelle économie d’une fraction substantielle du travail de désherbage sans réduction de la productivité du riz ou augmentation de l’utilisation d’autres intrants.

Il existe une diminution de l’inefficacité technique du travail de désherbage avec une augmentation de l’échelle de production.

On note une inefficacité des régimes et du nombre de désherbages manuels actuellement utilisés dans les interventions de désherbage des exploitations infestées par les parasites adventices pour le contrôle des mauvaises herbes parasites.

Chez les petits exploitants, la possibilité d’amélioration de l’efficacité technique de travail de désherbage existe face aux infestations de mauvaises herbes parasites par une utilisation alternative efficace des modalités de désherbage, de renforcement de l’éducation agricole des agriculteurs, de sensibilisation des agriculteurs sur les parasites adventices, d’exploration des économies de main-d’œuvre et des technologies de désherbage parasitaire rentables.

En matière d’orientations politiques, les résultats sont importants pour déterminer si les rares fonds de développement agricole sont mieux dépensés pour développer des technologies améliorées ou pour former les agriculteurs à mieux utiliser les technologies améliorées existantes.

Il urge de développer des programmes de recherche et de vulgarisation visant à réduire l’inefficacité technique du désherbage la main d’œuvre.

Besoins d’investigations sur l’efficacité économique du travail de désherbage dans les systèmes rizicoles.

N’cho, A.S., Mourits, M., Rodenburg, J., Lansinks, O.A., 2019. Inefficiency of manual weeding in rainfed rice systems affected by parasitic weeds. Agric. Econ. 50, 151–163.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Inefficiency of manual weeding in rainfed rice systems affected by parasitic weeds »

 

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Sécurité alimentaire au Bénin

Depuis des années, la situation alimentaire au Bénin est précaire. Et ce sont les ménages ruraux dans le nord du pays qui sont particulièrement touchés par la sous-alimentation et la malnutrition.

Les femmes de ménages touchés par l’insécurité alimentaire reçoivent une formation ciblée sur la composition et la préparation d’une alimentation équilibrée, l’hygiène, les besoins nutritionnels des femmes enceintes et des enfants en bas âge.

Des nutritionnistes sont formés en matière d’alimentation et de diversité alimentaire. Ils vont voir les femmes dans les villages pour les informer des sujets importants relatifs à la nutrition et des pratiques d’hygiène. Souvent, ils communiquent leur savoir à des bénévoles dans les villages, qui à leur tour agissent en tant que multiplicateurs.

Au niveau des ménages, la situation alimentaire des personnes touchées par l’insécurité alimentaire, en particulier celle des femmes en âge de procréer et des jeunes enfants, s’est améliorée.

Les approches qui ont du succès sont ancrées à l’aide de conseils politiques et d’une assistance fournie au Conseil national de l’alimentation et de la nutrition (CAN). Le CAN est soutenu dans son rôle de coordonnateur du processus SUN. Celui-ci consiste à élaborer des recommandations pour le développement d’approches nationales en matière de sécurité alimentaire, et à les intégrer dans les politiques et programmes nationaux.

GIZ, 2017. Sécurité alimentaire au Bénin. Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH.

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Rapport de l’étude d’état des lieux de la filière riz au Bénin en 2014

Depuis quelques années, le riz fait partie des céréales les plus consommées au Bénin.

La filière riz est réellement une filière porteuse pour le Bénin et contribue à la sécurité alimentaire du pays, mais elle est aussi pourvoyeuse de revenus pour les différents acteurs qui s’y sont engagés.

Depuis la crise alimentaire de 2007-2008, aussi bien le Gouvernement, les Partenaires techniques et Financiers et les acteurs directs de la filière (producteurs, transformateurs et commerçants) ont engagé des efforts qui ont hissé la filière riz à un niveau assez élevé en lui donnant un véritable élan.

Le maillon de la production est le plus dynamique étant donné l’engouement est l’organisation des acteurs, les productions obtenus et les différents appuis.

Le maillon des intrants spécifiques et des équipements présente différents visages. Si les intrants comme les semences certifiées de riz sont de plus en plus présents, les engrais spécifiques ne sont pas toujours disponibles. Les engrais vivriers et coton qui sont utilisés ne sont pas mis en place à temps, compromettant souvent le travail des producteurs.

Concernant les maillons transformation et commercialisation, ils connaissent aussi des évolutions même s’ils sont encore timides.

Le riz local est très peu présente/visible sur les marchés urbains ; ce qui se traduit par la forte consommation de riz dans les zones de production.

De façon générale, les résultats ne sont pas encore à la hauteur des attentes. De nombreuses difficultés et contraintes minent toujours le développement de la filière riz.

Konnon, D.-D., Sotondji, C.S., Adidehou, Y.A., 2014. Rapport de l’étude d’état des lieux de la filière riz au Bénin en 2014.

 

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Production et qualité nutritionnelle des épis de maïs frais bouillis consommés au Bénin

Le maïs (Zea mays) est une céréale de grande importance alimentaire pour de nombreuses populations en Afrique de l’Ouest, principalement au Bénin où il constitue la base du régime alimentaire des populations du Sud et du Centre du Pays.

L’épi de maïs frais bouilli est l’un des aliments obtenus de la transformation du maïs.

La production des épis de maïs frais bouillis est une activité féminine prédominante en période de disponibilité.

La technologie de préparation des épis de maïs frais bouillis diffère d’une région à une autre. Ainsi, à Parakou, l’épi de maïs frais est bouilli avec les spathes alors qu’il est bouilli sans les spathes à Cotonou.

Selon les consommateurs, la date post-récolte affecte le goût et la texture des maïs bouillis. Pour les transformatrices-vendeuses et les consommateurs, un bon maïs frais bouilli doit avoir une texture moins dure et un goût succulent.

Les caractéristiques nutritionnelles du maïs frais bouilli révèlent une richesse en glucides totaux (63,4 à 64,6% matière sèche), en protéines (12,5% matière sèche), en minéraux (1,6% matière sèche) et composés phénoliques (5,5 à 6,1% matière sèche).

Une bonne compréhension des relations existant entre les caractéristiques nutritionnelles, les propriétés technologiques et organoleptiques des variétés de maïs devrait permettre aux sélectionneurs de mieux orienter leurs programmes d’amélioration variétale d’une part, et aux utilisateurs de choisir les variétés en fonction de leur qualité technologique et nutritionnelle d’autre part.

Hongbete, F., Kindossi, J.M., Hounhouigan, J.D., Nago, M.C., 2017. Production et qualité nutritionnelle des épis de maïs frais bouillis consommés au Bénin. Int. J. Biol. Chem. Sci. 11, 2378–2392.

 

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Connaissances autochtones sur les races locales et les aliments à base de fonio au Bénin

La production nationale de fonio au Bénin demeure faible avec une régression continue variant de 4 164 tonnes en 1991 à 947 tonnes en 2010 (MAEP 2010). Ceci peut être due à la réduction de la superficie cultivée au profit d’autres cultures, principalement le maïs, facile à produire avec un rendement plus élevé.

Le fonio est une céréale traditionnelle très importante pour la plupart des agriculteurs qui sont souvent les gardiens d’une riche diversité de races locales ou de variétés traditionnelles. Cependant, les méthodes de production et de traitement post-récolte ont été encore traditionnelle au Bénin.

Une diversité de races locales de fonio (35 espèces) a été inventoriée avec certaines variétés locales présentant de bonnes caractéristiques agronomiques, technologiques et culinaires.

Les races locales Ipormoa, Namba, Icantoni ou Kopognakè ou Icantoga et Iporhouwan étaient bons pour cuisiner la pâte et le couscous et faciles à décortiquer

La disponibilité et l’accessibilité des aliments à base de fonio aux ménages pourraient contribuer à atténuer l’insécurité alimentaire.

Les communautés des pays en développement dépendent fortement des ressources naturelles qui non seulement agissent comme des tampons contre la faim et la pauvreté, mais aussi assure la diversité des régimes alimentaires des ménages.

Besoin de travaux supplémentaires sur les caractéristiques physico-chimiques et technologiques des différentes cultures de variétés locales de fonio au Bénin pour s’assurer de la valeur ajoutée diversifiée des aliments à base de fonio.

Ballogou, V.Y., Soumanou, M.M., Toukourou, F., Hounhouigan, D., 2014. Indigenous Knowledge on Landraces and Fonio- Based Food in Benin Indigenous Knowledge on Landraces and Fonio-Based Food in Benin. Ecol. Food Nutr. 53, 390–409.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Indigenous Knowledge on Landraces and Fonio-Based Food in Benin »

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Améliorer les pratiques endogènes de culture-élevage des petits agriculteurs dans les zones rurales, périurbaines et urbaines du Bénin

Les systèmes traditionnels de culture et d’élevage utilisés dans les zones rurales, périurbaines et les zones urbaines du Bénin pour leur amélioration ont été décrits avec l’identification et la caractérisation de trois niveaux d’intégration à savoir : pas d’intégration (NI, 36 %), intégration partielle (PI, 55%) et intégration totale (TI, 9%).

En zone rurale, les agriculteurs peuvent étendre leur élevage de bétail à une plus grande taille. Disponibilité de plus de fumier pour la production des cultures et résidus de produits issus des récoltes valorisés dans l’alimentation animale.

La stabilité du bétail sur le terrain permet une meilleure utilisation de résidus et d’excréments, et de limiter les pertes d’éléments nutritifs lors du déplacement des animaux.

En région périurbaine, le lien entre l’agriculture et l’élevage dans le sens d’une intégration complète est faible.

Les agriculteurs périurbains, avec une faible disponibilité de la terre, peuvent insérer la culture fourragère dans leurs stratégies culturales et étendre la production de petits ruminants pour la valorisation des résidus et du fumier.

L’intégration peut être améliorée grâce à l’utilisation de sous-produits d’ananas dans l’alimentation des porcs.

En milieu urbain, l’élevage de porcin peut être un atout pour l’utilisation des résidus de légumes et l’augmentation des engrais bio.

La promotion de l’intégration peut se faire par une meilleure adéquation des systèmes de production à valoriser les résidus de récolte et le fumier disponibles.

Nécessité de mettre l’accent par la recherche sur des liens économiques pour la description de système intégré de culture-élevage.

Ivan, K.B., Houinsou, D., Vissoh, P., Houndonougbo, F., Houinato, M., 2015. Improving small-scale farmers ’ endogenous crop-livestock practices in rural , peri-urban , and urban areas of Benin. J. Anim. Plant Sci. 25, 3814–3826.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Improving small-scale farmers’ endogenous crop-livestock practices in rural, peri-urban, and urban areas of Benin»

 

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Pêche, Pisciculture et Aquaculture au Bénin Un quick scan du secteur pour des possibilités d’interventions

La pêche et l’aquaculture contribuent à la sécurité alimentaire de façon directe et indirecte par la provision d’un aliment de très haute qualité nutritionnelle, l’auto-emploi, la génération de revenus.

Au Bénin, la pêche a été une source majeure de revenus pour les communautés vulnérables de pêcheurs à travers les générations et une source de protéines animales, parfois la seule accessible à des couches de populations pauvres vivant près de plans d’eau et des communautés isolées en milieu rural.

Avec une population totale avoisinant 10 millions de personnes au début 2014, la demande en poisson va augmenter considérablement et le déficit risque de se creuser davantage dans l’avenir si des mesures adéquates d’augmentation de la production aquacole ne sont prises à temps, avec des approches plus innovantes, des politiques rigoureuses et des partenariats plus concertés.

Le déficit en produits halieutiques à combler en 2025 demeure élevé (34 040 à 111 218 voire 152 563 tonnes) mais une grande partie devrait provenir de l’aquaculture plutôt que de la pêche et des importations. 

Le poisson frais mais la plupart du temps transformé est parfois la seule source abordable financièrement pour les ménages pauvres dans les milieux urbains et péri-urbains.

Le poisson est considéré comme « un aliment riche pour les gens pauvres » et a une faible contribution en apport protéique (28,5%) par rapport aux autres sources protéiques animales.

Rurangwa, E., van den Berg, J., Laleye, P.A., van Duijn, A.P., Rothuis, A., 2014. Pêche, Pisciculture et Aquaculture au Bénin Un quick scan du secteur pour des possibilités d’interventions.

 

 

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Valeur nutritionnelle et composition physico-chimique du mil (Pennisetum glaucum) produit au Bénin

Les prix élevés des aliments d’origine animale et les revenus limités gagnés dans les pays en développement ont entraîné leur dépendance à l’égard des préparations à base de céréales comme aliment de base.

Les céréales telles que le maïs, le sorgho ou le mil sont souvent utilisées dans la production de divers aliments et boissons traditionnels dans de nombreux pays africains, dont le Bénin.

Les concentrations de nutriments majeurs et mineurs comme les glucides, les protéines, les sucres ainsi que les minéraux variaient considérablement.

Certains cultivars de mil étant particulièrement enrichis en fer et en magnésium avec une grande corrélation entre l’amidon et l’amylose.

Quatre groupes de mil chandelle ont été distingués : les mils riches en fer (groupe G1), les mils riches en glucides (groupe G2) et deux mils moins nutritifs (groupes G3 et G4).

Aucune variété « tout-en-un » capable de fournir tous les avantages potentiels pour la santé attribués au mil mais les variations des niveaux de ces nutriments dépendaient à la fois de la variété de mil et du site de production.

Le mil pourrait être recommandé pour prévenir la malnutrition ou les carences alimentaires dans les populations utilisant le mil comme aliment de base, en particulier les enfants et les communautés agricoles rurales.

Nouvelles voies pour l’enrichissement du mil et opportunité de sensibiliser les agriculteurs à la sélection de variétés de mil chandelles pour réduire la malnutrition.

Adéoti, K., Kouhoundé, S.H.S., Noumavo, P.A., Baba-moussa, F., Toukourou, F., 2017. Nutritional value and physicochemical composition of pearl millet (Pennisetum glaucum ) produced in benin. J. Microbiol. Biotechnol. Food Sci. 7, 92–96.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Nutritional value and physicochemical composition of pearl millet (Pennisetum glaucum) produced in benin »

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De nouveaux indicateurs participatifs de durabilité révèlent les faiblesses de la culture du maïs au Bénin

Le rôle de l’agriculture est bien connu dans la croissance économique et moyens de subsistance rurale dans les pays en développement, en particulier en Afrique.

La durabilité agricole est réellement mesurée sur la base d’indicateurs et au Bénin, 17 indicateurs ont été définis.

Certains indicateurs étaient similaires à des indicateurs connus, alors que d’autres indicateurs mesuraient l’impact environnemental et dimensions sociales de la durabilité.

En utilisant la nouvelle méthode basée sur les indicateurs sur la culture du maïs,  des valeurs de 41 – 55 – et 40 ont été trouvé respectivement pour la durabilité économique, la durabilité environnementale et la durabilité sociale. Ces valeurs mettent en évidence certaines faiblesses de la culture du maïs dans le nord du Bénin car la valeur seuil de durabilité est de 50.

Néanmoins, de nouveaux indicateurs ont émergé dans les sphères environnementales et sociales de durabilité.

Les principaux atouts de cette approche sont sa nature participative et sa flexibilité (indicateurs) mais avec une faiblesse majeure liée à la subjectivité des composants, des indicateurs et seuils de durabilité.

La culture du maïs dans le nord du Bénin présente un faible niveau économique et de durabilité sociale.

Il est important de soutenir la vulgarisation visant à améliorer l’efficacité technique pourrait aider à déplacer le niveau de durabilité proche ou supérieure au seuil de durabilité.

Il faut la fourniture de bonnes semences et promotion de pratiques telles que le renouvellement des semences.

Il faut améliorer la technique d’agrégation en utilisant les régimes non-linéaires dans lesquels les poids des composantes de durabilité afin de définir les indicateurs par les parties prenantes.

Yegbemey, R.N., Yabi, J.A., Dossa, C.S.G., Bauer, S., 2014. Novel participatory indicators of sustainability reveal weaknesses of maize cropping in Benin. Agron. Sustain. Dev. 34, 909–920.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « Novel participatory indicators of sustainability reveal weaknesses of maize cropping in Benin »

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Nouveaux indicateurs de vulnérabilité et de résilience des systèmes agroforestiers au changement climatique en Afrique de l’Ouest

Le changement climatique menace les écosystèmes, y compris les parcs agroforestiers traditionnels.

Évaluer le niveau de vulnérabilité et la résilience de tout écosystème au changement climatique est importante pour la conception de stratégies et de mesures d’adaptation durables.

Le nombre de composants endommagés dans le système était le principal indicateur de la vulnérabilité des parcs Anacardium occidentale et Citrus sinensis aux effets du changement climatique.

L’âge et la densité des parcs Vitellaria paradoxa et des parcs mixtes (Vitellaria paradoxa–Parkia biglobosa) sont des facteurs déterminants de la vulnérabilité de ces systèmes agroforestiers aux effets du changement climatique.

Des indicateurs endogènes spécifiques de la vulnérabilité de l’agroforesterie au changement climatique sont importants pour identifier de meilleures stratégies d’adaptation.

Les systèmes d’agroforesterie basés sur Elaeis guineensis, Anacardium occidentale, et Citrus sinensis pour la région de Dassa-Zoumè et Zagnanado et les parcs de Vitellaria paradoxa, Anacardium occidentale, et parcs mixtes Vitellaria paradoxa–Parkia biglobosa pour les quartiers de Tchaourou au Bénin sont à encourager.

La culture de Manihot esculenta à travers les systèmes agroforestiers sera très utile pour réussir adaptations.

Il est utile d’évaluer la viabilité des principales espèces d’arbres agroforestiers et la résilience des espèces sauvages aux conditions climatiques grâce à la démographie et des études génétiques.

Nécessité d’examiner l’effet de la densité des arbres agroforestiers sur l’utilisation des nutriments et de la lumière par les arbres et les cultures à travers des conditions écologiques pour concevoir des stratégies d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest.

Gnonlonfoun, I., Assogbadjo, A.E., Gnanglè, C.P., Kakaï Glèlè, R.L., 2019. New indicators of vulnerability and resilience of agroforestry systems to climate change in West Africa. Agron. Sustain. Dev. 39, 12–23.

NB: Ce document a été originalement publié en Anglais sous le titre « New indicators of vulnerability and resilience of agroforestry systems to climate change in West Africa »

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